Treize quatorze quinze - Histoires de Sexe

Treize quatorze quinze

... ça s’enchaîne. Un peu plus tard, un invité décide d’embrasser la poitrine de ma femme sous la courbe de ses seins, ce qui fait remonter momentanément ceux-ci. Un autre frotte carrément son nez entre les lolos de ma Lola. Mais ça reste bon enfant. Après le passage de presque la moitié de la salle, Lola dit :

— Petite pause, svp !

Et suivie par tous les regards masculins, elle disparaît en trottinant sur ses talons aiguilles dans les toilettes. J’écoute les conversations autour de moi, les invités sont contents, surtout ceux qui ont pu embrasser les seins de ma femme. Celle-ci revient peu après :

— Allez, la suite !

À nouveau, tournant le dos à l’assemblée, elle se penche pour saisir le prochain cadeau à distribuer. Un murmure de stupéfaction et de contentement monte dans la salle : Lola n’a plus de string, et on distingue fort bien son sexe épilé et pêchu ! Petite cochonne, va !

— Maintenant, un cadeau pour André !

Ça se déroule de la même façon qu’avant la pause, mis à part que, cette fois-ci, le nouveau venu demande carrément :

— Je peux embrasser la Mère Noëlle sur les fesses ?
— Euh… oui, c’est possible…

Changement de programme avec André qui s’agenouille fébrilement derrière ma femme qui tourne le dos à l’assemblée. Il soulève le bas de la robe, révélant bien son popotin, puis il dépose deux gros baisers mouillés sur les deux rotondités des fesses. Quand il se relève, il est visiblement très satisfait de lui-même.

Se tournant vers l’assemblée, ...

... Lola explique :

— Bon, pour les deux baisers, au choix : ou mes seins, ou mes fesses !

Levant le doigt comme à l’école, un quidam demande :

— On peut avoir l’option « un baiser sur un sein et un baiser sur une fesse » ?
— Hmm, ça peut se faire…

Les autres invités défilent, un premier tiers prenant les fesses, le deuxième tiers, les seins, et le dernier tiers, un mixte des deux. Puis c’est au tour de l’avant-dernier. Celui-ci opte pour le popotin, mais trichant un peu, il dépose son second baiser, entre les fesses, sur le sexe épilé de ma femme. Celle-ci le gronde, lui donnant même deux tapes sur ses fesses, ce qui fait rire l’assistance :

— Espèce de gros cochon, va !

Le dernier à passer est son prétendant, le fameux Furet. Je suppose que ma femme l’a fait exprès. L’homme est tout fébrile, il s’approche de ma femme en disant :

— Le meilleur cadeau que vous puissiez me faire serait de m’offrir votre main…
— Je suppose que ça ne se limite pas qu’à mes cinq doigts… Vous sous-entendez le fait que je divorce, c’est ça ?
— Juste un petit divorce, et ensuite, vous serez la plus heureuse des femmes !
— C’est très gentil de votre part, Monsieur le Maire, mais je suis déjà très heureuse.

Opiniâtre, il insiste :

— Vous le serez encore plus avec moi ! Faisons comme Ravel, le compositeur de musique. Il avait demandé à sa femme de ménage de divorcer pour l’épouser afin qu’elle soit son héritière. Puis, quand elle est devenue veuve, elle a ré-épousé son ancien ...