1. Le salon de lectures


    Datte: 21/09/2023, Catégories: f, h, hplusag, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme init, Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... son éjaculation. Il vit son fantasme reculer son bassin du dossier de son fauteuil, et le basculer lentement vers lui. La jupe de la belle blonde ne cachait plus rien. Octave se repaissait de cette vision en goinfre égoïste. Il dévorait des yeux le buisson de poils dorés, brillant de liqueur. Il imaginait sa langue sur la délicate fente ouverte et détrempée. La jeune femme gémit longuement, releva son pied resté au sol, et laissa sa cuisse se poser sur l’accoudoir. Elle était maintenant comme écartelée et rougit violemment. Le ventre plat se contracta sous un autre gémissement, et un filet de cyprine s’écoula avec douceur de la faille béante. C’était comme si Pénélope n’attendait que son attention pour se laisser aller. Octave sentit son membre sur le point d’exploser…
    
    Pénélope se regardait et savait qu’elle ne se contiendrait plus très longtemps, la bourrasque qui s’annonçait. Exposée comme une libertine accomplie, jambes relevées et écartées, Pénélope se mordit la lèvre inférieure, assez fort pour en ressentir une légère douleur. La nouvelle Pénélope se vautrait dans la lubricité, et elle aimait ce qu’elle ressentait. Octave respirait aussi lourdement qu’un ours devant une ruche gavée de miel. Pénélope avait failli jouir en découvrant le cuir mouillé sous elle. Puis elle s’était offerte.
    
    Pénélope lança ses mains et enserra ses chevilles, les relevant plus haut encore. Octave en avait déjà beaucoup vu. Ses seins gonflés, ses tétons turgescents, ses cuisses nues. Il ...
    ... la découvrait maintenant totalement. Maintenant, elle lui offrait tous ses secrets. Tous ces trésors. Pénélope, les yeux braqués sur un Moby Dick prêt à souffler, aspira une grande goulée d’air. Elle transpirait et se sentait oppressée.
    
    — Octave… Je n’en peux plus… Je vais jouir…
    — Oh Pénélope ! Votre petite chatte toute mouillée…
    — Ma chatte oui… Ma chatte pour vous… Octave…
    — Votre petit trou… Pénélope !
    — Oh oui… Regardez-moi Octave ! Regardez mon petit trou… Oh oui, regardez-moi…
    
    La cicatrice de son ventre, ouverte et ruisselante, son œillet serré et sombre qu’elle sentait gluant de cyprine… Pénélope les offrait à Octave et en retirait un plaisir troublant.
    
    Le grognement d’Octave dura tout le temps qu’il se libéra en longues saccades, les yeux sur une Pénélope en train de se tordre. Pénélope regardait Octave par instants, avant de fermer les yeux sur une vague plus exigeante qu’une autre. La jeune femme ouvrit la bouche quand Moby Dick souffla. Elle imagina la queue d’Octave fondre entre ses lèvres. Puis, elle perdit totalement pied, bousculée, tordue, et fouettée par une succession de vagues dévastatrices. Enfin, elle se sentit couler d’un coup et jouit brutalement.
    
    — Oh mon Dieu ! Oh mon… Je viens… Octave… Je viens…
    
    En plein orgasme, Pénélope cria quand elle comprit ce qui allait arriver. Elle se regarda asperger ses cuisses nues à plusieurs reprises. Une pluie de plaisir saccadée inonda son corps et son siège. Des petits jets drus qui finirent par ...