Encore un jour, encore une croix
Datte: 18/09/2023,
Catégories:
fh,
frousses,
fépilée,
amour,
entreseins,
Oral
69,
fsodo,
couple,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... Elle le connaissait depuis toujours « chaud lapin », mais elle était loin de s’imaginer une telle capacité, à un âge si avancé, surtout !
Infatigable ! Albert était un Dieu de l’amour, et pas égoïste pour un sou. Tant s’en faut ! S’il pouvait bander sur commande, bander presque en continu, il n’oubliait cependant jamais de contenter sa partenaire. Si plus jeune elle appréciait ses capacités, avec le temps, ce qui l’avait tant contentée était devenu un inconvénient. Mais elle avait accepté le pacte et elle n’était pas femme à renier sa parole, aussi se pliait-elle à toutes les envies de son mari ces soirs-là.
Putain de maladies !
Qu’il la dévore n’était pas nouveau, il avait toujours été très friand des longs cunnilingus. Faire jouir sa femme de sa langue et de ses doigts avait toujours été son préliminaire préféré, aussi ne fût-elle pas étonnée qu’il la lèche longuement, en vain, certes, avant qu’il ne se place en soixante-neuf.
Sucer son mari n’avait jamais été une contrainte. Des années durant, elle avait adoré cette position : elle dessous, lui dessus, elle plutôt passive, lui actif… Très actif, même. Sans jamais dépasser les bornes, il avait toujours su lui prendre profondément la bouche sans douleur. Même si parfois elle était en apnée durant quelques secondes, jamais elle ne l’avait repoussé. Au contraire, sentir son nez buter contre le corps de son mari la comblait d’une sorte de supériorité. Lui gober la queue était comme la faire sienne. D’ailleurs, ...
... Albert n’était pas en reste. Dire qu’il la croquait était loin de la vérité. Il l’aspirait tant qu’elle se sentait tout entière hors d’elle, en lui. C’était fort, animal, presque bestial. Tous deux engloutissaient l’autre pour ne former plus qu’un. Tous deux dévoraient l’autre pour le posséder entier. Ils s’offraient, s’abandonnaient, se conjuguaient sans limites. Tout était permissible, rien n’était interdit.
Putain de maladies !
Rien d’étonnant, donc, qu’il attende et reproduise à la lettre les mêmes gestes avec celle qu’il aimait toujours comme au premier jour. D’abord, se manger le sexe jusqu’à boire leurs jouissances, puis se partager d’un long baiser ce que chacun avait reçu comme preuves de leurs plaisirs. Ensuite, et seulement après de tendres et partagées caresses venaient les longues et répétées pénétrations. Ainsi s’aimaient-ils, mais ça, c’était avant.
Putain de maladies !
ooOoo
Aujourd’hui, c’est le grand jour, donc. Le jour décidé par deux lancers de deux dés, et le hasard faisant bien les choses, Albert n’a pas eu besoin de poser le moindre jour de congé. Pour autant, il ne dérogera pas à la règle : il se branlera toute la journée. La seule différence étant que Marie ne le verra pas par écrans interposés, mais en réel. Ainsi en a-t-il décidé, et ainsi l’a-t-elle compris après qu’il lui ait donné ses doigts à lécher, bite contre joue. Elle sait qu’il n’en fera pas plus avant la fin du dîner, tout comme lui sait qu’elle ne serait pas dans la capacité ...