1. Encore un jour, encore une croix


    Datte: 18/09/2023, Catégories: fh, frousses, fépilée, amour, entreseins, Oral 69, fsodo, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... deux dates.
    
    — À une condition : que tu te branles devant moi ! avait-elle accepté, sans rechigner.
    
    C’était il y a plus de trois ans, et depuis, jamais il n’a joui en solitaire, que ce soit le matin avant d’aller travailler, le midi en visio, ou le soir. Confortablement couchée, elle a admiré la main de son mari astiquer un sexe qu’elle avait si fermement branlé, sucé et accueilli durant plus de deux décennies afin de soulager un besoin, du moins pour lui encore, qu’elle ressentait désormais comme une contrainte.
    
    Putain de maladies !
    
    Ils avaient trouvé un équilibre, leur équilibre. Lui prenait son plaisir, certes égoïstement durant plusieurs jours, parfois plusieurs semaines selon le lancer des dés, et elle aimait le regarder sans plus se sentir coupable. Parfois, quelques picotements, quelques nœuds au ventre, quelques légères humidités renaissaient, mais sans plus. Sans autre envie ou besoin de participer, d’aller plus loin que de voir sans toucher, qu’apprécier sans recevoir, elle n’était que spectatrice, certes, mais restait le centre d’intérêt, et elle se sentait fière d’être désirée. Pour autant, elle n’en attendait et n’en désirait pas plus. Que son mari lui prouve son envie, son besoin suffisait à la combler. Il lui témoignait que c’était pour elle, et pour elle seule qu’il se paluchait souvent jusqu’à trois fois par jour, et cela seul la comblait tout autant qu’avant. Sinon plus !
    
    Putain de maladies !
    
    ooOoo
    
    Lorsque le lancer des dés décidait que ...
    ... la prochaine date serait en semaine, Albert posait un jour de congé afin de se préparer dignement. Marie étant au travail, afin de ne pas déroger à la règle, il l’appelait sans cesse en visio. Elle n’était pas présente physiquement, mais elle le voyait malgré tout… Enfin, du moins l’apercevait-elle en regardant l’écran de son smartphone de temps à autre, car Albert était inépuisable. Ce jour de repos à la maison, il le passait la main sur son sexe, n’ayant qu’une idée en tête : lui montrer tout son amour.
    
    Ces jours-là, Marie était très inquiète. Moins de voir son mari se masturber continuellement que de s’imaginer le sexe de son homme coulisser en elle durant ce qu’elle ressentait être des heures, elle retardait toujours au maximum son retour au foyer. Même si elle savait qu’il serait doux et attentionné, qu’il ne lui sauterait pas dessus sitôt la porte franchie, elle redoutait l’heure. En effet, en contrepartie des jours sans la moindre attention sexuelle envers son épouse, Albert avait réussi à lui soutirer une soirée et une nuit complète. Tel était l’accord, en l’acceptant, elle était loin d’imaginer que son mari serait si… trop en manque, si… trop toujours fou amoureux.
    
    Putain de maladies !
    
    Le premier soir fut terrible. Pas violent ou crève la faim, mais interminable. Pourtant elle l’avait vu jouir quatre fois avant son retour au foyer, mais c’était sans compter l’incomparable capacité de son époux à jouir et rebander après une très courte période réfractaire. ...
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