1. COLLECTION BELLE-MÈRE. Je vais te niquer ! (1/1)


    Datte: 18/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... avec une ficelle dans le cul, je vois bien que tu es nue sous cette robe.
    
    Même avec un string si l’occasion de te baiser se présente, je te ferais ton affaire.
    
    • À ta santé Virginia, à notre entente pour le bien de mon père, j’ai pris conscience qu’il avait de nouveaux droits au bonheur.
    
    Santé, à tes amours.
    
    • Au tient un jour.
    
    Nous passons à table et je sors du meuble réfrigérer la langouste achetée vivante et que j’ai trempée dans l’eau bouillante.
    
    Pendant que je tenais le couvercle quelques secondes avant qu’elle arrête de se débattre, je me voyais appuyer sur la tête de ma belle-mère préalablement trempée dans la piscine.
    
    • C’est délicieux Christophe.
    
    • Encore un peu de champagne.
    
    • Une larme, tu sais même choisir ce breuvage béni des Dieux.
    
    • C’est mon père qui m’a initié, un Dom Pérignon rosé millésime 2005, inutile de t’en donner le prix.
    
    Les femmes adorent le champagne rosé plus doux que le brut.
    
    • C’est certain, celle qui t’épousera sera une femme comblée.
    
    Une femme comblée, ça va être toi quand ma verge te labourera et que tu appelleras ta maman pour t’aider à revenir sur terre.
    
    • Je suis content que tu aies apprécié mon confit de veau crémé aux champignons et panais fumés adoucis à l’huile de noisette garnie d’un gratin dauphinois dont je me targe d’être champion du monde.
    
    • Tu peux dire que tu es le roi de l’univers avec ce repas.
    
    Même moi qui évite de boire, j’ai apprécié le Clos de Vougeot 2009, ça aussi tu as ...
    ... su choisir.
    
    C’est certain, bien conne la belle-mère.
    
    Le traiteur qui m’a préparé ce repas qu’il m’a suffi de mettre dans la table réfrigérée des dimanches de beau temps pour la langouste.
    
    Quant au veau, dans l’armoire chaude dans lequel je l’ai placé, nous attendait bien gentiment.
    
    Pour finir la charlotte aux poires accompagnée de nouveau de champagne, était un magnifique piège.
    
    Sans oublier le vin sorti de la cave de celui que je vais faire cocu.
    
    • Que fais-tu Christophe, tu fumes !
    
    • Un petit joint vient tirer une taffe, tu verras ça va te détendre.
    
    Presque, fait, elle se lève pour contourner la table.
    
    Je l’attrape par la main et la fais asseoir sur mes genoux.
    
    Entre la biture et le mouvement que je fais, il me suffit de lui glisser le joint dans la bouche et la voir tirer goulument.
    
    • C’est surprenant, mais j’aime bien, en as-tu encore ?
    
    Pendant qu’elle pompe deux ou trois bouffées, ma main vérifie qu’elle est bien nue sous sa robe.
    
    J’écarte la fumette et c’est ma bouche qui prend la sienne.
    
    Sa main vient chercher ma verge en se déplaçant légèrement.
    
    Pour bander, je bande.
    
    Je la relève, je la couche sur le transat et comme je lui avais promis, je la nique la faisant rapidement hurler de plaisir finissant par lui remplir la chatte.
    
    Nous nous rajustons, elle un peu confuse.
    
    • Serge, as-tu bien tout filmé ?
    
    • Aucune image manquant mon ami.
    
    • Virginia, je t’avais bien dit que je te niquerais.
    
    Mon père est revenu, ...