Le dimanche matin
Datte: 16/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... le dessus pour se laisser tomber avec : « Viens, … prends moi dans tes bras, … fais-moi un câlin, … » Je me laissais aller contre elle et la main droite tenant un sein et ma bite sagement rangée contre ses fesses, on s’endormit rapidement.
Une bonne heure après, elle se réveilla et se tournant vers moi eut semble-t-il une surprise. Je pense de me trouver là, mais elle s’en remit rapidement : « Debout, … on ne va pas passer l’après-midi au lit à dormir… »On sortit du lit, la voir ainsi, s’affairer nue, cela me donnait des idées, mais, elle quitta la pièce me disant : « Je vais m’habiller, … et nous allons prendre l’air, …. Cela nous fera du bien, … »Je m’habillais et allais attendre Viviane dans la salle de séjour. Elle revint habillée d’une large jupe printanière et d’un corsage, certainement un peu juste, car il permettait d’imaginer une belle poitrine. La voyant ainsi vêtue, la trouvais vraiment belle et j’étais content qu’elle m’ait choisi. Par contre, j’étais un peu surpris qu’elle ait gardé ses escarpins pour aller marcher, mais cela lui faisait une démarche bandante, et je la soupçonnais de l’accentuer, me sachant derrière elle et, nous partîmes prendre sa R4 et elle me dit : « Je connais un endroit tranquille, … au-delà de Coulommiers, … on pourra se promener et prendre l’air, … » En chemin, j’osais lui mettre la main sur la cuisse, au bout d’un certain temps, elle me fit une petite tape sur la main en disant : « arrêtes, … tu vas nous faire avoir un accident, … » ...
... mais la tape était si douce que je n’enlevais pas ma main qui resta sur sa cuisse jusqu’à notre arrivée. Et là, avant de descende je l’attirais à moi et se laissant faire, nous entreprîmes une partie de lèche museau, pendant que je caressais sa cuisse. Malheureusement, elle se reprit et nous descendîmes de voiture. Là, ouvrant son coffre, elle sortit une paire de tennis pour remplacer ses escarpins, j’étais piégé et nous partîmes nous promener la main dans la main, comme des amoureux. Une petite balade sympa, nous n’avions rencontré personne et au détour d’un chemin, on s’enfonça un peu plus dans les bois, car Viviane était venue contre moi : « Il n’y a personne, …embrasses moi, … » Sans hésiter, la prenant dans les bras je collais mes lèvres sur les siennes. A ce contact sa bouche s’ouvrit légèrement, en signe d’acquiescement, d’acceptation, nous langues se caressèrent alors je poussais une jambe entre ses cuisses, qui ne présentèrent aucun obstacle à cette incursion. Fort de cet avantage, je passais des lèvres au cou, léger frisson, puis dans l’ouverture du décolleté : « Tu devrais l’ouvrir un peu plus, … »Viviane : « Non, … je ne peux pas, … on va nous voir… bon, … juste un bouton, … » Ce ne fut pas un mais trois boutons qui sautèrent dégageant sa gorge et ses belles rotondités. Donc je m’empressais de les lécher, embrasser : « Tu vois, t’aurais pas dû en mettre, … » et de la main droite je remontais la jupe, espérant pouvoir avoir accès à sa douce intimité, mais c’était ...