1. Le dimanche matin


    Datte: 16/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    Impatient, j’étais là avant 13,00 h quand je vis le chiffon blanc à la fenêtre. Je planquais ma mobylette et rien que d’imaginer Viviane dans sa nuisette, en arrivant à la porte, j’avais une trique pas possible. Je sonnais, … la porte s’ouvrit ; je ne vis personne, mais j’entendis : « Rentres vite, … » ce que je fis. Certes, elle ne pouvait ouvrir la porte dans sa tenue, il aurait déclenché une révolution. Finement maquillée, ses cheveux en cascade, vêtue ou dénudée de sa nuisette, qui mettait en valeur la nudité de ses seins et pour le reste le tissu transparent s’arrêtant au-dessus de la touffe ne cachait rien. A peine entré, nous étions collés l’un à l’autre, à nous frotter et moi à caresser ses fesses, son dos et de remonter, tout en ayant glissé une cuisse entre les siennes, chose qu’elle avait bien remarquée et à laquelle elle frottait son entrejambe avec une certaine ardeur. Ces minutes passées à se reconnaître : « Viens, … j’ai l’impression que ma tenue te plait, … tu es le seul homme pour qui j’ose cette tenue … d’un côté j’ai l’impression que ce n’est pas moi, … je me sens comme une, … enfin, … de l’autre je suis heureuse d’être ainsi, … dis-moi que tu aimes de me voir ainsi, .. ça me travaille, … je me suis préparée pour toi, … et je ne pense qu’à ça, … viens, … j’ai très envie de toi, … » et me tenant pas la main m’emmena vers la salle de séjour et surtout vers le canapé et de nouveau se collant à moi : « Viens, … dis-moi que tu as envie de moi, … que me voir ...
    ... ainsi, ça te faits plaisir, … moi, j’ai envie de toi, … et je te le dis, … viens, … » et elle se laissa aller sur le canapé, les cuisses largement ouvertes, … je me tiens comme une moins que rien, … mais je m’en fous, … je te veux, … je t’ai obéis, … maintenant prends moi, … regardes, je devrais avoir honte de ce que je fais, … mais non, … je m’offre à toi, avec plaisir, … parfaitement consciente, … de ce que je fais, … viens, … »Viviane était étalée sur le canapé, c’est vrai, offerte les cuisses largement ouvertes, avec en prime pour m’exciter certainement, et jouer les salopes, une main sur son minou qu’elle caressait doucement avec : « Regardes, je me prépare pour toi, … toute prête, … tu aimes, … »Moi : « Tu sais ce que tu es, … »Viviane : « Oui, … une salope, … et tu ne connais pas tout, … »Moi : « Pourquoi il y a autre chose, … »Viviane : « Tu veux savoir, … je vais te dire, … mon mari aimait que je me caresse, … ça le faisait bander, … j’ai refusé, … et pour toi, … sans que tu me le demandes, … je le fais, … je suis certaine que tu aimes, … et moi, j’adore, le faire pour toi … car J’aime te voir comme ça, nu, … et le sexe bien dressé, … ça me donne des envies, … oui, … viens prends moi, … je sens ta place, … regardes, je m’ouvre, … oui … viens vite, … » Pour ma part, tout ça n’avait fait qu’augmenter la dureté de ma trique, et rapidement chemise, pantalon, caleçon furent jetés au loin et je me laissais aller entre les belles cuisses de cette jolie garce et aussitôt elle ...
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