Janvier 1982
Datte: 15/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... ne remarquais que Viviane se tortillait un peu. Et là, était la deuxième surprise. Alors que mes mains et ma bouche s’occupaient avec ardeur de ses seins, elle me prit la main droite et l’amena à son entre jambe, en fait sur son minou, non sur sa petite culotte qui était relativement humide, ce qui augmenta mon excitation. Je me décidais à enlever cette protection, alors, de nouveau avec sa main elle me guida vers sa chatte et ses doigts poussant les miens, je la pénétrais et commençais à la masturber avec une douce vigueur. Elle me facilita la tâche en écartant largement les cuisses et surtout en avançant son bassin vers ma main. Ce petit jeu dura peu, car elle me repoussa et s’appuyant sur la table, relevant sa jupe, les jambes bien écartées, son joli cul en arrière, elle me guida dans sa chatte humide : « Viens, …, j’aime tes doigts, mais je préfère ton sexe, … prends moi, …, je veux te sentir m’aimer, … non, … me baiser, …, oui baises moi fort, …, éclates moi la chatte, …, OUIIIIiiiii, …Plus vite, …, je sens que ça vient, …. OUIIIIIiii, … » Je faisais tout ce que je pouvais, la pénétrant avec force et au plus profond d’elle, heureusement au moment où n’y tenant plus je lâchais tout, elle eut la gentillesse de jouir en ayant un spasme qui la fit se contracter et serrer les jambes, ce qui m’éjecta loin de sa jolie chatte. Elle se reprit rapidement, ferma corsage, rabattit sa jupe et fila vers ...
... le coin toilette en fond de sous-sol. Je l’attendis pour remonter, n’ayant aucune idée du temps passé à, …, ranger les cartons.
En émergeant du sous-sol Audrey, sa collègue, nous dit, : « Vous en avez mis du temps »Pour ma part, je disais à Viviane, « Ce café ça tient toujours, … »Elle se retourna vers Audrey : « On est à côté, le temps de boire un café, … je ne pense pas qu’il y ait foule, … »Installé à la terrasse, Viviane ayant posé sa main sur la table, je posais « amoureusement » la mienne dessus, alors que rapidement elle la retirait en disant : « Ne fais pas, ça, travaillant ici, beaucoup de personnes me connaissent et savent que je suis marié, un tel geste, et elles auraient aussitôt de mauvaises pensées, … qu’elle s’empresseraient de colporter… »Moi : « Désolé, … je ne pensais pas mal faire, … »Viviane : « Oublies, … il faudrait lm rendre ce que tu m’as enlevé, … »Moi : « Non, …je le garde en souvenir, … »Viviane : « C’est gentil, … si tu es libre, jeudi, c’est mon jour de repos, … on pourrait prendre un café ensemble, … »Moi, qui venait de me faire rabrouer brutalement et maintenant elle me proposait un rendez-vous : « Bien sûr, ce serait avec plaisir, … »Viviane : « Parfait, … on se retrouve chez toi rue …. Vers 14,00 heures, … et on verra ce que l’on fait, … ça te va, … »Moi, que dire : « C’est parfait, … »Viviane : « Bon, … je retourne au magasin, … à jeudi, … » et elle était partie