1. Janvier 1982


    Datte: 15/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    ... elle se leva en disant : « Il faut que j’y aille, … j’ai l’appart à remettre en ordre, … à bientôt, … peut-être, … » et elle était partieo Le jour suivantLe lendemain, je trainais dans ma chambre d’étudiant me demandant comment je pourrais revoir Viviane. La solution, aller la voir au magasin où elle travaillait en ville. Vers 14 heures, j’étais aux abords du magasin où je vis le patron et les deux vendeuses dont Viviane ouvrir et rentrer dans le magasin. Un quart d’heure après, je rentrais dans le magasin et saluais tout le monde et m’adressant au parton lui demandais s’il n’avait pas un boulot pour moi. Il me dit non pas pour l’instant et s’adressant aux vendeuses : « Je pars à la réunion des …. De toutes les façons il ne viendra pas beaucoup de monde aujourd’hui, … à demain, … et n’oubliez pas de ranger la livraison de ce matin » et il partit. C’est alors Viviane qui dit : « Il aurait pu demander à Jean de nous aider à ranger la livraison, … » Rapidement je dis : « Si vous voulez je peux vous aider, … je n’ai rien à faire, … »Viviane : « Si vous voulez, ce serait sympa, … mais non payé, … »Moi : « D’accord, … alors vous payez le café, … » Marché conclutLa livraison vraiment importante se trouvait dans l’arrière de la boutique. Tout devait être descendu dans la cave. IL y avait un escalier un peu raide et autrement il y avait une espèce de monte-charge, en fait une partie du sol de l’arrière-boutique pouvait descendre et remonter par un système de câbles. Pratique. Et on se ...
    ... mit au boulot. Viviane chargeait sur cette plateforme, elle descendait, en bas je vidais la plateforme et entassais le tout sur le côté. En une demi-heure le tout fut en bas. Viviane descendit et je lui ouvrais les cartons, dont elle rangeait le contenu dans des étagères.
    
    En continuant ce travail, je me demandais comment je pourrais faire pour « renouer » le contact. Pour mettre les articles dans les étagères, il lui fallait monter sur un genre de petit banc de trois marches. Le travail étant presque terminé, je décidais de tenter le coup. Alors qu’elle était sur le petit banc les bras en l’air pour déposer des articles dans une étagère haute, j’arrivais derrière elle, l’entourais et posais mes mains sur ses seins. Les articles atterrirent dans une étagère plus basse et ses mains se posèrent sur les miennes, alors qu’elle disait : « Je me demandais quand tu te déciderais, … » et se retournant on se colla et nos lèvres se joignirent pour un long baiser où les langues se caressèrent, se mélangèrent.
    
    Et elle m’entraina aux abords de la table et là appuyant son joli cul contre la table elle ouvrit son corsage, ce qui mit en évidence ses seins, mais la surprise était là. C’était un soutien-gorge quart de bonnet, qui laissait libre accès à ses jolis nénés qui pointaient fièrement, les mamelons ne demandant qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés : « Ils sont à toi, profites en, fais toi plaisir, fais-moi plaisir »Alors que très occupé par ces deux belles rotondités, je ...