1. Justine et William


    Datte: 10/09/2023, Catégories: fh, inconnu, uniforme, fsoumise, hdomine, soubrette, contrainte, Masturbation massage, nopéné, sm, portrait, Auteur: Boonzardos, Source: Revebebe

    ... blanc en dentelle dans l’uniforme, elle l’avait passé avec un peu de réticence. Cette culotte de très bonne facture s’avérait au final douce et confortable, même si elle couvrait peu ses fesses. Elle préférait ses culottes ordinaires en dentelle - plus convenables à ses yeux. Son expression ingénue contrastait avec cet uniforme. Elle semblait mal à l’aise, contrariée, elle murmura : « C’est un petit peu court » en se présentant au majordome.
    
    D’un œil connaisseur, William la jaugea et déclara en fixant le haut de sa poitrine au tiers dénudée :
    
    — C’est très bien ainsi, Mademoiselle. Marchez un peu que je vérifie que cet habit soit à votre taille.
    
    D’une démarche hésitante, elle fit quelques pas. William qui avait l’air d’apprécier, lui fit signe d’arrêter.
    
    — Mademoiselle, pourriez-vous monter sur l’escabeau et prendre le livre rouge, là, en haut de l’étagère, s’il vous plaît ? lui demanda-t-il en désignant une imposante bibliothèque débordant de vieux ouvrages.
    
    Sur un ton dévoué, Justine acquiesça :
    
    — Bien sûr, Monsieur. Elle monta sur l’escabeau. William se leva et s’approcha.
    
    Alors qu’elle atteignait le livre et tendait la main pour s’en saisir, elle réalisa que sa robe, au ras de sa croupe, montrait plus qu’elle ne cachait ses fesses. Elle devint de plus en plus mal à l’aise, et tentant d’étirer l’étoffe, elle souffla, rougissante :
    
    — Oh, euh…, je vous prie de bien de vouloir m’excuser, Monsieur, de…
    
    William, s’apercevant de son embarras, la ...
    ... questionna :
    
    — Tout va bien, Mademoiselle ?
    
    Lâchant à regret le bas de sa robe, Justine bredouilla :
    
    — Je… je suis désolée, Monsieur, j’essaie d’être efficace. »
    
    William compréhensif, mais ne pouvant détacher son regard du postérieur de la soubrette, la félicita :
    
    — Je comprends. Votre volonté d’être efficace sera toujours très appréciée. Votre confort et votre dignité nous importent également… comme votre dévouement. Prenez le temps de vous familiariser avec votre uniforme.
    
    Justine se confondant en excuses du haut de l’escabeau :
    
    — Je suis désolée. Pardon pour cet incident Je vous remercie de votre compréhension, Monsieur.
    
    William la rassurant :
    
    — Il n’y a pas lieu de vous excuser, Mademoiselle. Assurons-nous simplement que vous êtes à l’aise dans vos tâches. Si vous préférez, je peux prendre le livre moi-même.
    
    Justine s’empara enfin de l’ouvrage :
    
    — Non, Monsieur, je le tiens. La prochaine fois, je ferais plus attention à…
    
    Elle se tut, visiblement gênée.
    
    — Très bien, Mademoiselle. N’oubliez pas que je suis là pour assurer votre bien-être autant que le bon fonctionnement de la maison.
    — Je vous en suis reconnaissante, Monsieur.
    
    William l’invita à s’asseoir :
    
    — J’ai encore quelques instructions à vous transmettre. Mademoiselle, dit-il en appuyant ses mots, je ne puis insister suffisamment sur l’importance du total dévouement que nous attendons ici, à la maison Bienencourt. En tant que membres du personnel, nous sommes les gardiens de cet ...
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