1. Encore et encore


    Datte: 09/09/2023, Catégories: fh, extracon, voisins, plage, sport, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, québec, extraconj, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... Cette femme m’incitait à la pénétrer de toutes parts, de tous mes membres, elle attisait tous mes appétits.
    
    Pendant ce temps, j’avais presque machinalement enfoui deux doigts en elle, que je faisais aller et venir dans un bruissement juteux. À l’autre bout de ce corps sublime, je reconnaissais la tonalité enivrante des soupirs d’excitation de Sophie. Goûter, toucher, vue, odorat, ouï, tous mes sens se régalaient de cette offrande. Plus fort encore je léchai, plus fort encore je poussai la langue. Du pouce, j’atteins son clitoris tout gonflé et désireux que je caressais lorsque mes doigts se trouvaient au plus profond d’elle. Sophie oscillait des hanches, m’indiquait le rythme à suivre, et je le suivais comme un bon élève suit la mesure de son prof de musique. Ainsi guidé, la jouissance de Sophie la gagna avant même que je m’en aperçoive, trop occupé que je fusse à ma découverte. Ma main en elle fut inondée, elle jouit de longs soupirs étouffés, de « ha » et des « ho » divins, de soubresauts et de frissons extasiant. Ce petit jeu m’avait conservé dans un état de totale excitation et, quand le plaisir se fit moins ostentatoire, je relevai mon visage.
    
    Toujours à genoux derrière elle, je repris ma position initiale : queue d’une main, l’autre sur une hanche. Dans la pénombre, je trouvai facilement l’endroit où aller m’appuyer ; c’était celui que mes doigts venaient tout juste de quitter. Je poussai et m’insérai complètement en elle. Je fus accueilli par le feu qui brûlait ...
    ... dans son ventre, par l’océan de mouille qu’elle générait pour notre seul plaisir, et je n’arrêtai ma progression que lorsque je butai contre sa croupe. Ce choc projeta Sophie vers l’avant, juste un peu. À nouveau, je l’entendis soupirer d’un « oooh » ténébreux. J’appuyai mes mains sur ses hanches, reculai mon bassin jusqu’à ce que je fus presque entièrement sorti d’elle, puis me lançai à nouveau vers l’avant. À nouveau, je butai contre elle. À nouveau, elle fut projetée en avant, un peu plus fort.
    
    Je me sentais long comme je ne l’avais jamais été. J’avais vu plusieurs belles femmes à vélo, très séduisantes dans leurs vêtements moulants, certaines probablement très conscientes de l’effet qu’elles pouvaient faire sur leur passage. Mais ces femmes n’avaient jamais dépassé le niveau de la convoitise très éphémère, la superficialité du regard mâle s’accrochant à des formes féminines de passage. J’avais maintenant au bout de mon gland le corps d’une cycliste le plus suave que je n’avais jamais pénétré, dénudé de ses artifices synthétiques, et je le visitais pour la troisième fois déjà ce soir.
    
    Je recommençai à pilonner, d’une extrémité de ma queue à l’autre, du plus loin où je pouvais me reculer tout en restant en elle jusqu’à ce que mes testicules ne viennent résonner sur son périnée. Et ainsi de suite, très lentement pour commencer, pour sentir parfaitement toute la texture de nos sexes parfaitement disposés au plaisir, puis en prenant force et vitesse. Le doux bruissement ...