Encore et encore
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
plage,
sport,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
québec,
extraconj,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... dont les spasmes provoquèrent quelques vocalises supplémentaires de cette superbe cantatrice. Son corps hoquetait, il me sembla, ses jambes tremblaient, elle soufflait et râlait, les doigts accrochés aux pierres mouillées du mur, la tête penchée entre ses deux bras, la joue appuyée sur l’un d’eux, ses cheveux en bataille et complètement imbibés choyant sur un côté. Dans la noirceur presque totale, je vis son œil à moitié ouvert se tourner vers moi, un œil d’héroïnomane en pleinhigh, un sourire épuisé sur son visage à travers ses lèvres ouvertes cherchant encore son air.
— Sophie… dis-je, la tête vide.
De ce que ma mémoire était en mesure de me rappeler, jamais je n’avais autant joui, jamais le plaisir n’avait-il pu monter et monter si longtemps. Jamais je n’avais tant fait jouir.
— Alexis, expira-t-elle.
L’orage avait substantiellement rafraîchi l’air. Une fine pluie tombait encore, un vent faible soufflait, l’air embaumait la végétation rassasiée. Le tonnerre continuait à gronder au loin, audiblement de plus en plus loin. Je restai en elle, mon abdomen contre sa croupe, caressant machinalement son dos. Ce fut elle qui bougea la première, se relevant complètement, venant coller son dos à mon torse. Je posai mes mains sur son ventre brûlant, puis sur ses seins que je couvris complètement. Je sentais son cœur battre par à-coups profonds et lourds. Elle devait sentir le mien faire de même.
Elle se détacha de moi. Je sentis mon sexe glisser hors d’elle et venir ...
... tomber sur ma cuisse, tout gluant de sa cyprine mêlée à mon sperme. Sans me regarder, elle grimpa lentement les marches de l’escalier de pierre en appuyant sa main sur le muret, comme pour tenir son équilibre. Dans sa nudité totale, elle parcourut les quelques pas qui nous séparaient de la véranda. Je regardai sa démarche féline, ses hanches roulant nonchalamment au-dessus de ses jambes magnifiques, qui rythmaient ses cheveux mouillés ondulant dans son dos. L’autre escalier menant à la porte-moustiquaire fut l’occasion d’un nouveau spectacle de déhanchement et finalement Sophie disparut à l’intérieur du chalet qui était plongé dans le noir. Nu comme un ver, moi aussi, je récupérai nos vêtements détrempés et retournai vers la véranda. Je m’affairai à les tordre pour accélérer leur séchage. C’étaient nos seuls vêtements. Je réalisai qu’ils devaient sécher pendant la nuit si je ne tenais pas à expliquer comment tous nos vêtements s’étaient retrouvés mouillés par l’orage quand le reste de la famille arriverait le lendemain. Le temps de m’exécuter, j’entendais la douche couler.
J’étais en train d’étendre notre linge au-dessus de la cheminée lorsque Sophie ressortit de la salle de bain. Très vulnérable dans ma position, les bras au ciel et sur la pointe des pieds pour accrocher un morceau de vêtement, je sentis sa main claquer sur la peau de mes fesses encore bien mouillées.
— C’est le service complet, ici ! me lança-t-elle d’un ton mutin. Nourrie, blanchie et baisée. On ne peut ...