En visite sur Tuor - Histoires de Sexe

En visite sur Tuor

... situation de nonne.
— Mais vous n’avez fait que parler ou êtes-vous allé plus loin dans l’intimité.
— De ma part, non, mais elle s’est fait un plaisir de tâter mon corps et je crois que cela nous a troublés, car je n’étais pas insensible à ses caresses.
— Et qu’est-ce que vous comptez faire ?
— Ne voulant pas avoir une accumulation de problèmes, j’ai fui en venant vers vous avant de devoir défendre ma personne avec les conséquences toujours négatives, quelle qu’en soit l’issue.
— Je ne peux que vous féliciter de votre sagesse, des fois il vaut mieux reculer pour avancer, mais ceci ne peut être qu’une solution provisoire. Que diriez-vous de devenir mon ambassadeur chez mon cousin ? Vous auriez l’inviolabilité diplomatique.
— Merci, mais je ne suis pas sûr que ce soit suffisant pour freiner un couteau dans votre dos. Je vais y réfléchir, j’aimerais bien revoir la reine, je lui ai promis de lui faire un autre fils pour démentir les effets de l’accident de votre cousin, avec son accord et aussi parce que j’en suis un peu amoureux.
— Mais votre compagne ?
— Gamiel, vous la connaissez ?
— Oui, c’est un peu notre agent secret et chercheuse quand on nous a dérobé quelque chose.
— Elle me demande d’être large d’esprit pour son travail où je lui sers de garde du corps, alors cela doit être réciproque.
— Et pour l’arène ?
— C’est que j’ai un peu négligé l’entraînement depuis que j’ai fui, mais pourquoi pas ? J’accepte, mais pas sous mon nom, pour ne pas attirer les sbires du ...

... prince héritier.
— Alors, après-demain.

En partant, je fais un baisemain à la reine et, ô surprise, elle a la peau de son bras qui se hérisse avec un grand frisson. C’est quoi ça ? Encore un problème à venir. Elle en veut aussi à mes gonades, il faudra que je sois sur mes gardes.

Pendant deux jours, je me suis entraîné sérieusement avec l’aide de Gamiel, qui avive mes réflexes. Enfin le grand jour arrive. Comme c’est de la boxe, le matériel se résume à peu de choses et c’est surtout la personne qui est importante. Des trompettes résonnent pour annoncer la fin du combat précédent : un drôle d’affrontement, à main nue, le combattant précédant affrontait une bête qui avait une muselière et ses griffes encapuchonnées dans une sorte de gants. Ce genre d’affrontement n’est pas évident, il s’agit d’arriver à se jucher sur le dos du fauve et de le maintenir comme un cheval sauvage, le tout sans selle. Une fois fatigué, c’est plus facile de le coucher après sur le dos et de lui caresser l’abdomen ce qui met fin à l’affrontement. Mais il arrive que l’animal gagne en se couchant lui-même sur l’adversaire et en l’immobilisant, ils sont entraînés à cela. Dans ce cas, ils sont pratiquement divinisés.

Moi, par contre, c’est contre du réel, heureusement que les règles de non-destruction de l’adversaire sont aussi en vigueur, je n’aurai aucun plaisir à me faire abîmer ou de l’abîmer.

Les trompettes résonnent et nous rentrons, mais contrairement à Tibur, cela ressemble vraiment à ...