En visite sur Tuor - Histoires de Sexe

En visite sur Tuor

... et commence à lui faire moult mignardises et compliments pour tout ce qui est en haut de la ceinture, léchant, suçant, aspirant les tétons de ses seins en forme de poire. Un fumet annonçant que la belle est à point, m’incite à prolonger mes explorations en direction de la vallée du Jourdain, mais une barrière m’empêche d’atteindre mon but, la coquine est armée d’une culotte de chasteté avec une magnifique serrure.

— Oh ! fis-je, comment veux-tu que je m’occupe de ton minou si tu as placé une poterne infranchissable à l’entrée ?
— Je pensais qu’étant le collaborateur le plus proche de notre voleuse royale, tu avais des connaissances en serrure.

Je vais dans la chambre de Gamiel et la trouve au lit.

— J’ai un sérieux problème, j’ai chez moi une femme avec une culotte de chasteté munie d’une serrure. Peux-tu m’aider ?
— C’est qui ?
— Je ne sais si moi j’ose te le dire. Enfin bref, c’est la reine qui vient chercher un peu de réconfort.
— Que du réconfort ?
— Je suppose plus, si entente, selon la formule non consacrée dans ce monde.

S’armant de sa trousse degentlewoman cambrioleuse., elle m’accompagne dans ma chambre où la reine fronce les sourcils en voyant Gamiel.

— Ne vous en faites pas, ma reine, Gamiel sait tenir sa langue, vous verrez tout à l’heure.

Gamiel s’agenouille entre les cuisses de la Reine et commence à farfouiller dans la ceinture, mais la maligne, pour avoir l’objet bien en main, met la main au paquet, comme l’on dit, et frotte ...

... vigoureusement le starter amoureux. Enfin, après quelques clics, le paradis ouvre ses portes et débarrassée de son carcan, notre partenaire pousse un ouf de soulagement.

— Ma reine, je pense que Gamiel a droit à une petite récompense pour tout son travail et dévouement, laissez-la vous adorer.
— Je suis large de hanches et d’esprit, qu’il en soit ainsi.
— C’est bon, je range mes outils, mais tant qu’à faire, j’aimerais bien…
— Pour moi, pas de problème, mais en compensation, laisse-moi m’occuper de ce beau bâton de berger.

C’est ainsi que pendant que la reine s’occupe de ma sucette, Gamiel s’abreuve de la gelée royale, léchant à s’en fatiguer la langue, jusqu’à ce que la reine, mette fin à ces préliminaires et me demande de l’honorer. La queue au bord de l’explosion, je l’enfile dans sa balafre brûlante et commence à la tringler sérieusement. L’orgasme ne fut pas long à venir et pendant qu’elle grimpe aux rideaux, je déverse dans son joli conin le fruit de ma passion pour elle.

Un peu sonné par la violence du coït, je m’étale à côté d’elle sur la couche, mais Gamiel qui n’avait pas eu sa portion deBircher-Muesli, commençe à rouspéter.

Alors notre souveraine, royalement, lui a proposé de lui présenter son con pour qu’elle puisse aussi goûter aux joies deGomorrhe.

Ayant partiellement récupéré de mon effort précédent, je m’intéresse au puits royal et avance une lippe curieuse à son endroit. Dommage que le goût soit altéré par le produit de mes couilles, j’aurais bien aimé ...