1. COLLECTION BOURGEOISE. La gourmande (1/1)


    Datte: 08/09/2023, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Fidélité pour toi, mais...
    
    • Tu sembles hésiter à me dire la suite, si tu sais quelque chose que j’ignore, il faut me le dire sinon rentre chez toi !
    
    En même temps que je tiens ces propos, je sens que je me passe la corde au cou.
    
    Il a la possibilité de me dire un bobard et je serais piégée.
    
    • Depuis deux ans, Charles-Antoine est devenu l’amant de ma mère.
    
    Ça c’est produit pendant la même période de vacances que celle qu’il passe en ce moment.
    
    Tu te souviens du pied foulé de maman et celui de Charles-antoine, lorsqu’ils se sont rentrés dedans sur la piste noire !
    
    • Oui ta mère s’est arrêtée et mon mari l’a percuté, par chance, à faible vitesse.
    
    • Conséquence ?
    
    • Ils ont dû rester à l’hôtel, c’est moi qui ai ramené notre voiture et ton père la vôtre, tu étais sans permis.
    
    • C’est ça, j’avais ma chambre entre les deux votre, j’ai souvent entendu vos deux couples faire l’amour, c’est là que j’ai commencé par tomber amoureux de toi.
    
    Le premier après-midi, ou ils se sont retrouvés seuls, ayant oublié ma carte pour les téléskis, je suis revenu, je m’arrête là, c’est de maman que je parle.
    
    Ce que je peux te dire, c’est que leur cheville était loin d’être un handicap pour leurs jeux érotiques.
    
    • Ils étaient dans quelle chambre ?
    
    • La vôtre, ils baisaient même dans les douches et j’ai entendu le sèche-cheveux après leurs ébats.
    
    • Françoise devait les sécher après leur douche !
    
    • Non, ils mouillaient les bandes de leurs chevilles et il ...
    ... fallait qu’elle soit sèche à votre retour.
    
    Je me souviens de cette semaine merdique, je me suis retrouvée seule avec Sylvain, un jour nous sommes passés près d’un gîte, il m’a proposé la botte, mais comme une conne, je l’ai rembarré par fidélité.
    
    Je me venge avec le fils, après cette découverte de mon cocufiage, il m’entraine sur notre canapé.
    
    Contrairement à mon mari, je veux éviter de me faire prendre dans le lit conjugal comme eux l’on fait dans la chambre d’hôtel.
    
    S’ils ont baisé toute la semaine, je posais ma tête sur l’oreiller de cette salope se disant mon amie.
    
    Sur ce canapé, Lionel me fait mettre à quatre pattes, les seins reposant sur le dossier et s’est avec délice qu’il me prend par-derrière, mais en commençant dans ma chatte.
    
    Je ruisselle de me venger de ce qui est difficile à Lionel d’inventer, il me suffira de coincer Françoise lorsque nous sommes seuls pour voir si elle ment.
    
    Depuis que je la connais, je sais qu’elle a en horreur de cacher la vérité, même si c’est pour taire son infidélité avec mon mari.
    
    • Putain que c’est bon, j’avais perdu le gout d’une grosse verge au fond de moi, continu saligaud !
    
    Qui l’eût cru, la comtesse de la panouille, cette femme avec particule, est capable de parler comme une charretière, sous l’influence de cette jeune verge.
    
    Pendant le temps restant des vacances, elle finit même par renier ses propos en baisant dans le lit conjugal.
    
    Ce que découvre Marie-Chantal de la panouille, c’est le sexe extrême ...