1. Amantes de Saint Jean – 3/3


    Datte: 08/09/2023, Catégories: ff, fff, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, ffontaine, intermast, Oral 69, fdanus, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... la ballade du retour, pour dormir tête-bêche… et pour le drap aussi. Quoique, pour lui, précaution inutile. Laurence a dû en changer, le lendemain.
    
    De toute manière, pour dormir à l’aise dans ces conditions, ce n’était pas gagné. On était serrées comme des sardines en boîte. Moi d’un côté du lit, Charlotte de l’autre et Laurence au milieu. À ton avis, que faire quand tu as de jolis orteils qui te caressent la joue, sinon les bécoter ?
    
    — Oui, et quelle douce torture !
    — Et une leçon de choses pour Charlotte !
    
    Elle m’a imitée sur l’autre pied de Laurence. Je lui ai montré comment suçoter et mordiller les orteils, lécher le dessus et le dessous du pied… On faisait assaut de léchouilles sur Laurence qui se tordait entre nous. Elle voulait se venger, mais elle devait aller d’un pied à l’autre, elle ! Alors, comme nos chattes étaient à portée de ses mains, elle a entrepris un double doigtage en règle.
    
    Enfin, ce n’était pas vraiment le summum du touillage de chatte – va travailler correctement quand tu te tortilles sous les chatouilles ! –, mais efficace quand même. Nous nous sommes calmées pour mieux en profiter. On s’est contentées de petits suçotements tendres, en offrant nos minettes toutes poisseuses. Toutes sensibles aussi, câlinées presque sans relâche depuis la séance au vestiaire.
    
    Ce n’était pas non plus l’idéal pour sombrer dans un sommeil réparateur. Mais, nous n’aurions pas pu dormir sans avoir joui tout notre saoul. Avant, on avait dû s’arrêter chaque ...
    ... fois trop tôt pour être complètement repues. Il fallait que nous puissions laisser les orgasmes aller jusqu’à satiété. Les mains caressaient les pieds, et les mollets, les genoux, en montant doucement vers le haut des cuisses. Ces doux frôlements dans l’intérieur des cuisses qui te font te resserrer, te replier, et réclamer qu’ils montent plus haut.
    
    — Pouce ! Pause pissou…
    — Pas de souci, ma chérie. Je t’accompagne… pour nettoyer ton minou après !
    — Petite cochonne, tu sais que j’adore ça !
    — Voui, ma douce coquine, je le sais bien. Tu es libérée, maintenant ? OK, je continue.
    
    À force de se tordre les unes contre les autres, on a fini par se retrouver imbriquées, chatte contre chatte pour les unes, chattes contre bouche et mains sur tétons pour l’autre…. et comme nous ne sommes égoïstes ni les unes ni l’autre, nous avons plusieurs fois interverti les rôles. Résultat : encore une abondante production de cyprines tièdes et encore un barbouillage complet de frimousses…
    
    — Ah oui, je vois… à ne plus savoir où aller lécher !
    — Voilà !
    
    Les sourires du haut et du bas bien humides de tous ces jus mêlés, avec le ventre qui palpite et aspire à la délivrance, par petits spasmes de plus en plus rapprochés. Dès qu’on sentait que l’une allait venir, on changeait de position, mais on n’a pas pu retenir nos gémissements ni contenir les orgasmes très longtemps.
    
    Charlotte n’avait plus du tout honte de sa grosse foune ni de son œillet épanoui. Elle n’était pas la dernière non ...
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