« Josy »: La petite salope joue avec le feu et se brûle. Épisode 25
Datte: 05/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... trouvant derrière le comptoir. J’étais donc ressortie à l’extérieur, attendant l’arrivée de l’électricien.
À cet instant, une petite camionnette se gara sur le trottoir et en descendit, un homme typé, une lampe torche à la main, assez trapu son visage fendu par un large sourire lorsqu’il m’aperçut : « Salut ma mignonne, une vraie petite cow-boy, ça te va bien. » Ce mec culotté comme pas deux, d’une petite trentaine d’années, me prenait pour une fille qu’il connaissait ou étant dans une boite de nuit, il pensait probablement que je travaillais comme hôtesse : « Je ne connais pas cette boite. Tu bosses là ? Je m’appelle Kamel, tu me montres où se trouve le disjoncteur ?» Ce type était vraiment tout le contraire de Philippe, pourtant très sexy et devait le savoir.
Ce fut la raison pour laquelle, je ne lui avais pas dit qui j’étais, en le laissant dans son délire. En ouvrant le local technique, l’endroit étant assez exigu, il sourit en me disant : « Veux-tu te pousser un peu sur le côté, tes jolis airbags me gênent. Du combien 90C ? » Je m’écartai en riant de bon cœur, je n’avais pas pu me retenir, ce type m’amusait : « Bien ! 85 C ou 90 suivant la marque de soutien-gorge mais je n’en porte que rarement. » À partir de là, il rit aussi et me demanda gentiment de le laisser travailler car si je continuais à le perturber, il ne pourrait pas résoudre la panne et ne pouvait pas me garantir de rester sage très longtemps : Je te sers un verre Kamel en attendant ?
— Ouais un ...
... demi ! T’es gentille ma mignonne cow-boy.
Quelques minutes plus tard, la lumière étant revenue, il m’expliqua qu’il avait réenclenché tout simplement le disjoncteur. Il jeta un œil sur sa montre et s’approcha : « Je peux vérifier ? Tu en portes un ou pas ? » Me demanda-t-il, en tirant sur le premier bouton pression de ma chemise qui lâcha. Déjà excitée par Philippe un peu plus tôt dans la matinée, ayant une folle envie de prendre du plaisir : « Vas-y mais je dois tâter moi aussi, la marchandise avant de consommer. » Lui avais-je répondu en mettant ma main sur son entrejambe.
M’embrassant la poitrine après avoir dégrafé les cinq boutons, il glissa sa main sous ma jupe et me caressait l’entrecuisse. Les doigts de ce don juan de Kamel étaient très adroits. Ce type me mettait dans tous mes états. Il n’avait pas fallu longtemps avant que ma petite culotte disparaisse dans mon sac à main. Je l’avais moi-même retirée afin que Kamel puisse jouer avec mon petit bouton et me pénètre ses doigts dans ma fente très humide. Quelques minutes plus tard, je jouissais sur la partie inférieure du comptoir à côté de la tireuse à bière, où il m’avait fait m’assoir.
J’avais envie de rendre la pareille à mon amant tunisien, je lui caressais la bosse sous le tissu de son pantalon, indiquant qu’il avait une forte envie de me sauter. Il baissa son pantalon et m’avait pénétrée assez délicatement. Il faut dire que sans l’avoir réellement vu, son pénis devait être impressionnant car il eut quelques ...