« Josy »: La petite salope joue avec le feu et se brûle. Épisode 25
Datte: 05/09/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... à la porte de ma chambre.
Ne baisant pas de tout le week-end, le dimanche soir était réservé à mon chéri qui cette nuit-là comme souvent, m’en avait fait voir de toutes les couleurs, il s’était déchainé et me fit la totale, il avait fini par m’épuiser. Un quart d’heure plus tôt, je venais de me lever pour faire pipi et je m’étais recouchée avec la ferme intention de me rendormir jusqu’à dix heures, après ces trois jours de folie que nous venions de vivre une nouvelle fois à la discothèque et à la guinguette.
Lorsque je m’étais tournée vers lui en ouvrant les yeux, je vis que Philippe était déjà nu avec son sexe en érection dans la main. Il pensait probablement se glisser sous les draps : « Non mon lapin ! Pas ce matin, je suis complètement crevée. » Comme à son habitude lorsqu’il était gêné, il baissa la tête et sortit de la chambre en refermant la porte. J’avais sans doute dû le blesser, je l’entendais râler en allant aux toilettes. Devais-je le laisser se masturber ou devais le rappeler ? Une petite fellation lui suffirait peut-être à le satisfaire pour le moment : « Philippe ! Reviens. » Criais-je.
Il n’avait pas tardé pour rouvrir la porte de la chambre, je me mis assise sur le lit et lui demandai d’approcher. Après qu’il m’ait fait une bise, je lui caressai le ventre d’une main et avais saisi son beau pénis tendu de l’autre. Lorsque j’ouvris la bouche pour glisser sa queue raide entre mes lèvres, il ferma les yeux en soupirant de bonheur. Dieu qu’il fut ...
... résistant, j’avais sucé, aspiré, léché son gland, tout en le masturbant et en lui massant les bourses renflées, je lui avais fait plusieurs gorges profondes pourtant il avait su tenir la distance.
Bien d’autres types avant lui, s’étaient vidés les couilles au bout de quelques minutes sous mon savoir-faire. Il faisait bien partie des rares qui savaient résister à mon supplice érotique. Cependant lorsqu’il me prévint qu’il ne pouvait plus, je l’avais maintenu par les fesses afin qu’il ne se retire pas et m’aspergea le palais avec une force incroyable, il semblait ne jamais s’arrêter d’éjaculer. Il m’avait pris par les cheveux avec délicatesse, restant le plus possible dans ma bouche et criant son bonheur : « Oh putain ! que c’était bien. Je n’ai jamais connu un plaisir aussi intense. »— Allez mon lapin, laisse-moi dormir maintenant.
Il sourit, me déposa une grosse bise sur les lèvres et sortit de la chambre.
Je n’avais pas menti, j’étais bien fatiguée et je m’étais rendormie en pensant à Philippe, je pense que je m’étais prise d’affection pour lui depuis ce fameux vendredi. Si au départ ce fut un jeu élaboré par mon chéri, il y avait de fortes chances que ça ne le soit plus. Ne me voyant toujours pas debout à dix heures trente, il frappa à ma porte. N’étant pas pudique et étant désormais intimes, je m’étais levée comme j’étais, c’est-à-dire : nue avec comme seule protection mon premier string. Ce sous-vêtement de lingerie fine ayant fait sa réapparition dans les magasins ...