Isabelle
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
LA FEMME A LA FENETRE -3-
ISABELLE
Depuis un mois, Jean n’importune plus les filles. Il n’essaye plus de leur arracher une promesse de visite à son appartement, pour réviser leur disait-il. Ouais ! Mon œil ! Pour leur sauter dessus à peine entrées, pensaient-elles. Seuls Gérard et Sylvain franchissent le seuil et seulement l’après-midi. Les étudiantes sont perplexes. Au début, elles se jalousent, essayant de deviner laquelle accapare le jeune homme. Puis, elles se rendent à l’évidence. Aucune d’elles n’a cette chance. Qu’est-ce qu’il lui prend ? Lui qui leur courait après ? Aurait-il trouvé mieux ailleurs ? Piquées au vif, elles lui tournent autour espérant se faire remarquer. Isabelle n’est pas la dernière. Elle, qui a toujours éludé les tentatives du garçon, maintenant qu’il se dérobe, lui fait du charme. Jean est flatté. Il a le béguin pour la jeune étudiante et décide de tenter sa chance. Il l’invite un après-midi à préparer ensemble un partiel. À sa grande joie, elle accepte.
Fébrile, le garçon nettoie de fond en comble son deux pièces. Tout est net et bien rangé. Il tient à faire bonne impression. Il fait des emplettes au supermarché du coin, des boissons, une bouteille de gin (on ne sait jamais), des fruits, des gâteaux et même une pizza surgelée qu’il stocke dans le compartiment à glace du réfrigérateur. Il ne veut pas être pris au dépourvu. Le cœur battant, il descend ouvrir à la jeune fille qui sonne à l’heure prévue.
Il la précède dans l’escalier et ...
... s’efface après avoir ouvert la porte. Isabelle le frôle au passage, avance de quelques pas et, curieuse, examine autour d’elle. Voilà ce fameux appartement dont il lui a tant parlé ! Rien à voir avec son minuscule studio.
— Tu es drôlement bien installé, dis donc !
— N’est-ce pas ? Tu aurais pu venir plus tôt, tu sais. Depuis le temps que j’espère ta visite.
Il la débarrasse de son anorak. Elle porte un gros pull sur une ample jupe rouge et verte.
— Tu sais, tu devrais enlever ton chandail. Ici il fait chaud, tu risques d’attraper froid en sortant.
Isabelle hésite. On commence par le pull et on ne sait pas où cela s’arrête. Elle scrute Jean du regard. Il attend, aucune lueur concupiscente dans le regard. Elle s’en veut de lui prêter des intentions malsaines. Il a raison, il fait chaud, elle ne sera pas à l’aise pour travailler. Son porte-document la gêne pour se déshabiller.
— Donne-le moi.
Elle enlève l’encombrant vêtement qu’elle suspend à côté de l’anorak pendant qu’il pose la serviette sur le bureau. Jean se retourne. La jeune fille est ravissante dans son chemisier blanc fermé au col. Il s’approche dans l’intention de la serrer dans ses bras, mais elle se dérobe. La jupe virevolte dans la pièce. Le garçon la compare à un papillon qui butine ses meubles.
— Fais-moi visiter, ensuite nous nous mettrons au travail.
Elle le précède dans la chambre.
— Quel grand lit !
— N’est-ce pas ? Il y a de la place pour deux.
La jeune fille hausse les épaules ...