1. Qui aime bien châtie bien


    Datte: 01/07/2019, Catégories: ffh, hbi, anniversai, hsoumis, Oral pénétratio, fsodo, hgode, hsodo, sm, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... presque obscène de voir l’anneau musculeux s’ouvrir et faire la place à l’orifice sombre que mon mari a tant de fois confié à Laure.
    
    Le gland noir, tache sur le blanc des fesses, force le passage. Je ressens un sentiment de puissance alors que la corolle s’ouvre devant l’envahisseur. La longue tige avance, doucement, sur ma pression régulière. À chaque instant j’attends un mot de refus ou un cri de douleur. Mais non.
    
    Au tiers du gode, je stoppe la progression. Ignorante et inexpérimentée, je ne voudrais pas, juste par précipitation, blesser mon soumis et, en plus des dégâts physiques, perdre sa reconnaissance. Tous les articles que j’ai lus insistent sur la responsabilité du Dominant. Son soumis se livre entièrement et je dois donc me montrer à la hauteur.
    
    Immobile un instant, je croise le regard de Laure qui me fait un signe d’encouragement. Alors, je me comporte en homme. Ma queue commence un va-et-vient dans le tunnel.
    
    Je comprends le plaisir des hommes à baiser une femme et pourtant moi, mon sexe ne me transmet aucune sensation. Mais le reste est dans la vision. La vue de ce mandrin, noir, énorme qui force le cul et qui, imperceptiblement avance à chaque poussée. La vue de l’anneau du cul qui entoure la hampe, cherchant à l’étouffer, garantissant l’étanchéité naturelle. Et, la même corolle qui se dilate à chaque fois que le diamètre du gode augmente.
    
    Toujours pas de cri ou de protestation de mon mari. Au contraire, des gémissements accompagnés par des ...
    ... ondulations des hanches comme s’il cherchait à se positionner et tirer le meilleur de son envahisseur.
    
    Le temps n’est pas à l’attente. Si j’étais un homme, je dirais que je dois accélérer pour faire monter la jouissance.
    
    Un coup sec et le monstre est en cage, les bourses, à la taille de la bête, tapent contre celles de mon mari.
    
    Incroyable, je lui ai mis au moins vingt-cinq centimètres dans le cul. Oubliée la délicatesse. J’active mon gode en de grands mouvements, rapides et profonds. Chaque poussée le propulse en avant. C’est comme si je baisais Laure, mon engin traversant Pascal et se substituant à la verge.
    
    Je joins mes gémissements à ceux de mes partenaires. Une, deux, dix, cent fois, je bourre ce cul et par personne interposée la chatte de Laure. Ma propre chatte coule. La sangle m’irrite le clito mais je peux caresser mes seins. Je les tire, les allonge, les tords sans ménagement. Ma jouissance, particulière, arrive.
    
    Alors, des deux mains je presse les énormes bourses de mon gode et envoie le liquide qu’elles contiennent dans le cul de mon soumis. Mon soumis, mon mari, mon amant, mon homme.
    
    Nul doute qu’il ne s’attendait pas à ce torrent dans ses entrailles. Mais cela lui plait car je sens que de son côté il balance sa purée.
    
    Quelques va-et-vient pour relâcher la tension et retrouver la réalité de la vie.
    
    Laure qui supporte nos deux corps ne se plaint pas. Dans un geste que je ne contrôle pas, je viens l’embrasser. Après tout, c’est grâce à elle que ...
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