1. Les copines, ça raconte tout


    Datte: 05/03/2018, Catégories: fh, grp, hplusag, fplusag, extraoffre, boitenuit, noculotte, entreseins, Oral Partouze / Groupe Auteur: Juliud Cassiacus, Source: Revebebe

    ... fit comprendre qu’elle souhaitait que je reste en elle, et c’est donc en position bite-à-cul que nous nous sommes endormis.
    
    Je me suis réveillé seul dans le lit. La douche coulait dans la salle de bains, j’y suis allé jeter un coup d’œil. C’était Béatrice.
    
    — Viens chéri, viens me rejoindre !
    
    C’est elle qui me savonna en insistant sur le gland, ce qui eut le don de me faire flageoler sur mes jambes tant la sensation était intense. Évidemment, je bandai sur le champ. Elle me rinça et, s’agenouillant dans la douche, elle commença à me tailler une pipe absolument divine. Très vite, je sentis venir l’éjaculation.
    
    — Ça vient trop fort, Béa chérie ! Relève-toi que je te baise !
    — Hon hon, dit-elle en accélérant ses mouvements
    
    Je n’ai pas pu retenir plus longtemps et j’ai déchargé longuement. Elle a tout avalé.
    
    — Pourquoi n’as-tu pas voulu qu’on baise ? J’avais envie de ta chatte, tu sais !
    — Oui, mon chéri, mais ce matin j’ai mes règles, et ces jours-là c’est l’abstinence.
    — Heureusement que ça n’est pas arrivé avant.
    — Tu m’as porté chance, mon chou. De toute façon on repart cet après-midi, tu le sais. Alors c’était ma façon de te dire au revoir. Parce que je compte sur toi pour nous rejoindre en vacances dans quinze jours !
    — En principe je serais là, sauf imprévu… Où sont les autres ?
    — Les filles ont voulu regagner leur hôtel et Charles-Henri les a accompagnées. Elles espèrent que tu passeras les voir avant la fin de ton chantier.
    
    Comme l’avait dit ...
    ... Béatrice, son séjour se terminait ce dimanche. Charles-Henri était avant tout venu pour ramener son épouse et ses nombreux bagages en voiture. Si j’ai bien compris, ils avaient pris l’habitude, pour agrémenter cet aller et retour rapide, de pimenter la contrainte par une soirée au VIP.
    
    Nous prîmes un dernier déjeuner ensemble, à l’issue duquel nous nous quittâmes sur le renouvellement de ma promesse d’honorer leur invitation.
    
    Mes amis partis, je me retrouvai seul comme une âme en peine dans la station thermale qui, en ce dimanche après-midi n’était pas spécialement animée. JC était en promenade avec sa prof catho. Christine et Marlène avaient disparu. Elles devaient sans soute se reposer à l’hôtel. Apparemment les deux filles avaient beaucoup donné la veille.
    
    Je finis par m’attabler à la terrasse où j’avais retrouvé Béatrice vendredi soir. J’y étais depuis cinq minutes, lorsqu’une femme très élégante s’approcha souriante.
    
    — Mais c’est le jeune neveu de Béa ! Alors jeune homme, Marc, c’est ça ? Vous avez l’air tout triste, c’est le départ de Tantine qui vous chagrine ?
    — Un peu ! Mais surtout, je m’ennuie un peu tout seul. Je ne connais personne ici.
    — Et moi ? On se connaît un peu. Nous avons été présentés par votre tante à cette même terrasse. Vous vous souvenez de moi ?
    — Oui, je vous reconnais, vous êtes Marie-Agnès n’est-ce pas ?
    — Bravo ! Vous avez bonne mémoire. Voulez-vous que je vous tienne compagnie ?
    — Je vous en prie ! Prenez place. Voulez-vous boire ...
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