Les copines, ça raconte tout
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hplusag,
fplusag,
extraoffre,
boitenuit,
noculotte,
entreseins,
Oral
Partouze / Groupe
Auteur: Juliud Cassiacus, Source: Revebebe
... passait de l’une à l’autre. Et puis tout d’un coup, sa femme s’est mise sur le dos, jambes écartées, il l’a prise et pilonnée trente secondes, et là elle s’est envoyée en l’air violemment. Il est resté fiché en elle le temps qu’elle se calme, et hop, il est revenu vers moi. Il m’a reprise en levrette, et là, il a commencé à me titiller l’anus et à m’introduire un doigt.
— Ah ! l’horreur, s’exclama Béatrice.
— J’ai tout de suite compris qu’il voulait m’enculer. Je le fais parfois, mais je n’en tire pas tellement de plaisir. Et là, vu la taille de l’engin, je me suis dit qu’il allait m’éclater les sphincters. Je me suis retirée précipitamment, et je me suis mise sur le dos. Il a compris. Ça ne l’a pas empêché de m’enfiler à nouveau. Il ne débande jamais ce type…
— Mais quand même, il doit bien éjaculer de temps en temps et du coup avoir un peu de mou dans la tige… dis-je en rigolant.
— Ben, pas vraiment ! Effectivement il a dû décharger trois ou quatre fois dans la soirée. À chaque fois, il s’est fait gicler sur mon dos ou mon ventre. Sa queue débande à peine. Sa femme arrive aussitôt, elle lèche les gouttes de jute, puis elle le prend en bouche, lui suce le gland quelques secondes, et hop c’est reparti, il t’enfile à nouveau. T’as pas eu le temps de partir, ni même de changer de position.
— Tu parles d’un cas…
Sur cette conclusion sibylline, nous décidâmes de nous coucher. D’autorité Béa décida que Charles-Henri et les deux filles coucheraient dans la chambre ...
... principale compte tenu de la taille du lit. Et qu’elle et moi nous irions dans la seconde chambre où, ma foi, le lit était presque aussi grand. J’aurais aimé pouvoir dormir, mais dans l’autre chambre, Charles-Henri, stimulé sans doute par les deux jeunes femmes qui partageaient sa couche, s’était remis à l’ouvrage, on entendait nettement des soupirs et des bruits de sommier. Je suppose que c’est ce qui motiva la réaction de Béatrice qui vint coller et frotter ses fesses contre mon pubis. Bien que plutôt éprouvée par la soirée au club, ma verge afficha un début de raideur. Il n’en fallut pas plus pour que ma partenaire se cambre, récupère ma queue et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Elle était tellement humide que, bien qu’encore un peu mou, je n’eus aucune peine à m’introduire en elle.
— Tu mouilles encore ? lui demandais-je à mi-voix.
— Sans doute, mais c’est surtout les restes de ce que j’ai reçu comme décharges ce soir. Quand je vais en club, j’en garde un maximum jusqu’au lendemain matin… J’aime ça !
Cette perversité et la perspective de baiser une chatte pleine de sperme achevèrent de me faire bander, et j’entrepris de limer ma partenaire, jusqu’à ce quelle jouisse. Ce ne fut pas bien long, car en même temps, sa main astiquait son clitoris. Très vite elle gémit, les parois de son vagin palpitèrent, et je ressentis une chaude liqueur s’écouler sur mes couilles.
Je n’avais plus la force de tenter une nouvelle éjaculation. Je voulais donc me retirer, mais Béatrice me ...