1. Première saillie (1)


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    ... saillie !
    
    Et moi je me disais que j’avais sous la main tout ce qu’il fallait pour faire beaucoup mieux...
    
    Mais il me fallait aussi un complice, qui fut vite trouvé en la personne de mon frère, même si au début, il me traita de folle. Mais je réussis à l’exciter en lui décrivant mon fantasme, et il accepta enfin de m’aider pour le réaliser. Je n’allais pas, bien évidemment, utiliser un des étalons du haras : la semence se vendait trop cher pour être gaspillée, et le prélèvement était quand même à force éprouvant pour les étalons, déjà suffisamment sollicités. Mais j’avais toujours Sorietto, le cheval qui m’avait permis d’accéder à la compétition de haut niveau. Son origine et ses performances lui avaient permis d’être agréé étalon, mais cette carrière s’était vite arrêtée, les tests de fertilité s’étant avérés négatifs. Il était cependant resté entier et nous l’utilisions comme boute-en-train, pour détecter les juments en chaleur.
    
    Mais cela ne l’empêchait pas d’avoir tout ce qu’il fallait pour saillir !
    
    Alors, un jour où mon père s’était absenté, je mis mon plan à exécution...
    
    La vieille Folie, jument toute calme, était bien en chaleur, et je l’attachais dans le hangar de monte. Mon frère avait été cherché Sorietto, et il lui faisait renifler la jument. Il piaffait sur place, dansant d’un postérieur sur l’autre. Et surtout, petit à petit, sa verge sortait du fourreau. Une belle verge, bien longue, rose à sa naissance puis bien noire avant de se terminer au ...
    ... niveau du gland déjà bien gonflé par un mélange de rose et de noir, une verge que je sentais durcir de plus en plus à mesure qu’elle s’allongeait.
    
    Je m’étais mis contre le mannequin, laissant cependant un léger espace derrière moi pour pouvoir reculer un peu en cas de coup de reins trop violent de l’étalon, le corps tourné dans la direction par laquelle Sorietto allait arriver. Il fut bientôt face à moi, dressé déjà sur ses postérieurs, son sexe battant l’air à hauteur de ma poitrine.
    
    Tandis que son poitrail, antérieurs écartés, retombait sur le mannequin, j’avais saisi sa verge, épiant ses contractions pour deviner le moment où il allait éjaculer. J’avais enfin en main, face à moi, cette verge si ferme, tant désirée, que je sentais palpiter sous ma caresse. Quand je vis qu’elle se relevait quelque peu, se tendant encore un peu plus, je sentis que c’était le moment.
    
    Je plaçais alors la verge face à mon vagin, que j’avais bien dilaté de mes doigts. Le coup de reins de l’étalon le fit me pénétrer, et heureusement que je tenais son sexe d’une main et avais laissé de l’espace derrière moi, sinon je pense qu’il m’aurait déchirée ! Je reçus en moi un flot de sperme d’une telle intensité que cela me fit crier de plaisir.
    
    Baissant ensuite rapidement la tête, le second jet me remplit la bouche, me faisant suffoquer. Sortant alors le membre d’entre mes lèvres, je le dirigeais vers mes seins, vers mon ventre, recevant alors avec délice le reste de sa semence qui semblait ne ...