Première saillie (1)
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
Mon père était étalonnier dans un haras privé, dans le département de l’Orne, et les chevaux étant pour mes parents une passion de tous les jours, j’ai été bercée dans cette ambiance et c’est très tôt que des mots comme étalon, saillie, chaleurs, reproduction ou gestation sont entrés dans mon vocabulaire.
Cela a d’ailleurs permis à mes parents de ne pas me donner trop de cours d’éducation sexuelle, mon père m’ayant seulement dit quand j’ai assisté à ma première saillie :
"Tu as vu comment les chevaux se reproduisent... et bien pour nous c’est exactement pareil ! "
J’ai bien sûr ensuite posé quelques questions à ma maman, mais dans le fond, tout ce qu’elle m’a dit était très proche de ce que j’avais eu sous les yeux. La différence fondamentale à mon sens étant qu’entre les hommes et les femmes, on ne parlait pas de saillie, mais que l’on disait faire l’amour...
J’avoue que l’accouplement chez les chevaux, cela m’a toujours fascinée, et je ne comprenais pas trop pourquoi ces animaux que je côtoyais tous les jours, qui étaient pour moi d’une grande docilité, aussi bien tenus en main que montés, devenaient soudain de véritables furies dès qu’un cheval entier sentait qu’une jument était en chaleur.
Je revois les juments, tenues par mon frère. On leur avait entravé les postérieurs, qu’elles ne puissent pas faire de mal à l’étalon. Dans l’attente de la saillie, leur corps était parcouru de grands frissons, et lorsqu’elles sentaient que l’étalon arrivait, lorsqu’elles ...
... étaient bien décidées de se faire saillir, elles relevaient la queue, écartaient les postérieurs, leur vulve s’ouvrait et lorsqu’elles étaient bien « chaudes » elles laissaient échapper de longs jets d’urine trouble et épaisse.
Mon père arrivait alors, tenant l’étalon qui trottinait sur place, relevant son encolure, mettant sa queue sur son dos... il avait vraiment fière allure, avec ses sabots ferrés qui martelaient le sol, faisant parfois jaillir des gerbes d’étincelles. Mon père l’emmenait alors à la tête de la jument, qu’ils se reniflent bien tous les deux, s’assurant ainsi que la jument était bien prête à être couverte. Ils couinaient tous les deux, comme s’ils se parlaient, le mâle sentant la jument à féconder tandis que la jument saluait celui qu’elle reconnaissait comme pouvant la fertiliser.
La tête de l’étalon parcourait ensuite toute la ligne du dessus de la jument, de l’avant vers l’arrière, comme s’il l’embrassait, et elle était parcourue d’un long frisson. Arrivé au cul de la jument, il humait bien sa vulve et, retroussant alors les naseaux, il aspirait ainsi cette odeur qui transmettait à son cerveau que la jument était bonne à s’accoupler, tandis que son sexe commençait à sortir du fourreau. Lorsque celui-ci était entièrement descendu, il se dressait sur ses postérieurs, s’approchait de la jument et le sexe tendu au maximum, que l’on sentait tout dur et vibrant, prenait possession de la matrice de la jument.
Ses antérieurs reposaient alors de chaque ...