1. Un voyage en train


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fh, hplusag, hotel, caférestau, voyage, train, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, conte, Auteur: Anne Honyme, Source: Revebebe

    ... orifice qui vous fait fantasmer, le même que vous avez envie de remplir de votre queue depuis votre rencontre dans le train. Et elle se tient là, vulnérable sans bouger, elle se cambre même pour proposer encore davantage son cul. Elle vous veut en elle, au plus profond d’elle, elle veut sentir le va-et-vient de cette queue qu’elle a léchée avec envie tout à l’heure. Cambrée, vous lui caressez ce cul rond, ferme et charnu. Votre main droite claque ce fessier qui appelait à la fessée.
    
    — Hummm… encore.
    
    Surprise, mais pas décontenancée pour autant, votre main touche à nouveau cette fesse droite avec une violence toute relative. C’est presque une caresse plutôt qu’une fessée. Elle aime et approche son cul vers votre membre, signe qu’elle veut se faire prendre tout de suite. Une dernière fois, vous vous assurez, en passant un doigt humide, que son con est assez lubrifié, vous ne voulez pas lui faire mal. Vous vous approchez, votre gland se présente à l’entrée et se pose sur son œillet encore fermé. Votre bassin se balance vers elle, votre gland écarte ce trou rose dépourvu de poils, lui aussi, et votre gland pénètre petit à petit, millimètre par millimètre, ce trou qui s’ouvre sous la pression de votre mât de chair.
    
    — Ha !
    
    Ce cri vient de sortir de sa bouche. Entre légère douleur et plaisir, elle a senti votre queue passer dans son trou. Vous commencez des va-et-vient lents pour ne pas lui déchirer l’œillet. Hummmm c’est serré et humide… Vous adorez pouvoir posséder ce ...
    ... trou. C’est si agréable. Pendant vos va-et-vient qui se sont intensifiés, ses petits seins bougent… Vous les empaumez et votre excitation n’est que meilleure. Votre queue, si elle le peut, durcit encore dans ce petit trou. Une main sur sa poitrine, une main sur ses hanches, ses fesses, vous accompagnez le mouvement de va-et-vient. Elle soupire :
    
    — Hummmm c’est bon, c’est si bon… encore.
    
    Vous reprenez de la vigueur et la limez de plus en plus vite, de plus en plus fort… Elle gémit, elle soupire, elle souffle… « humm c’est bon ».
    
    Tout à coup, vous ressortez de cet orifice si chaud, si accueillant. Elle se retourne et enfourne votre queue dans sa bouche, elle vous suce avec appétit et lèche votre queue en salivant beaucoup.
    
    — Maintenant je veux votre bite dans mon vagin… Je veux vous sentir au fond, tout au fond.
    
    Vous n’avez pas besoin d’en entendre davantage pour vous remettre tous les deux dans votre position initiale de la levrette. Sa chatte dégouline d’excitation, de cyprine transparente. Il y en a jusque sur le haut de ses cuisses. Le doigt de votre main droite sur son petit bouton, vous profitez de ce liquide pour pousser plus loin le plaisir et l’excitation pour elle. Votre gland pénètre cette chatte humide, vous n’avez aucun mal à entrer en elle, c’est comme une épée dans un fourreau, c’est chaud et doux comme une caresse buccale.
    
    Vous commencez les va-et-vient. Ils sont plus brutaux que les précédents, vous la limez brutalement. De toute façon, elle ...