1. Un doux rêve 2


    Datte: 29/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Auteur: MelleAngel, Source: xHamster

    ... je suis certaine qu’elle les aura emmenés dans son coffre de voiture.
    
    Noémie et ses surprises…
    
    Lorsque je rentrais finalement, l’après midi touchait à sa fin.
    
    Je n’étais finalement pas rentrée pour déjeuner, mais étais allé au restaurant avec le joli serveur au cul bien rond (voir épisode précédent). Un de ses jours, il faudra je le fasse passer sous ma table. Je connais sa patronne.
    
    Cochon n’avait pas encore débarrassé mon assiette propre. Je lui tirais l’oreille et lui tordais les couilles à travers sa culotte pour ce manque de rigueur. Mes semelles de bottes étaient sales et pour éviter de salir à nouveau la maison, il se précipita à mes pieds pour me déchausser et les nettoyer illico.
    
    Quel homminal, quand même !
    
    Malgré le bruit que faisait mon homminal avec ses casseroles dans la cuisine, je parvenais à écouter les ‘Suites pour violoncelle de Bach’, un verre de martini à la main. J’avais passé ma nouvelle robe et j’étais satisfaite du rendu avec ma paire de bottes.
    
    La sonnerie retentit.
    
    J’entendis les mules de Cochon se précipiter pour ouvrir la porte d’entrée. Il avait du mal à marcher avec ses hauts talons fin, mais il avait fière allure avec sa culotte qui lui remontait haut sur les hanches. Je lui avais fait 2 couettes avec des élastiques assortis dans ses cheveux que je n’avais pas eu le temps de tondre.
    
    Noémie était là, resplendissante. Nous avions le même âge (la cinquantaine assumée) et la même corpulence. Des courbes et des bonnets E ...
    ... bien remplis (comme elle aimait plaisanter). Ses nouvelles bottines vertigineuses en cuir vernies (que Cochon léchaient en guise de respect) étaient assorties à sa robe de pute (comme elle l’avait appelée) : vinyle noir moulant qui plissait sur ses hanches et son ventre généreux, remontant à mi cuisse, décolleté plongeant sur ses mamelons blancs compressés dans un soutien gorge du même vinyle. Sa chevelure brune coupée au carré (elle sortait de sa visagiste), ses yeux noirs : une diablesse conquérante.
    
    Une Noémie en pleine forme.
    
    Nous nous serrâmes dans les bras, tournant sur nous même en plaisantant, pendant que ses deux homminaux, excités par mes bottes en cuir laqué, léchaient mes semelles en guise de salut.
    
    Nous étions autour de la table de salon. Cochon nous avait resservi un martini chacune. Ses petits compagnons avaient reçu instruction d’enlever leur legging blanc (seule tenue extérieure autorisée pour eux) et se tenaient nus à ses pieds.
    
    Nous discutions des dernières directives de la Gynarchie et des conséquences sur l’évolution de notre vie. Je baissais les yeux sur le nouveau jeune homminal de Noémie qui changeait de position. De la pointe de ma botte, je levais le menton du jeune chiot :
    
    ‘Alors, c’est ça ta nouvelle acquisition ? Voyons ça !’
    
    ‘Oui, c’est M456. Il est encore à contrôler, je ne sors jamais sans mon tazzer et ma cravache, mais il promet. Il s’entend assez bien avec ’B65’ malgré la différence d’âge’
    
    ‘Regardes un peu ça’ De la pointe ...