1. Un doux rêve 2


    Datte: 29/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Auteur: MelleAngel, Source: xHamster

    Le lendemain matin, j’étais toute ragaillardie.
    
    Je passais rapidement un déshabillé et m’assis à la grande table devant mon petit déjeuner. Cochon était affairé à la cuisine entre vaisselle et je ne sais quoi encore. Il s’agenouilla pour me saluer silencieusement du bout des lèvres sur mes chevilles et me servi mon café.
    
    La maison résonnait de toutes ces préparations et je le sentais stressé.
    
    Je décidais de prendre l’air pour cette belle fin de matinée.
    
    Cochon m’agrafa mon soutien gorge et agrafa mes bas aux 6 jarretelles. Ses mains tremblaient et je m’en amusais.
    
    C’était quasiment le seul moment de la journée pendant lequel il pouvait m’approcher alors que j’étais quasiment nue. (Lorsqu’il rendait hommage à mon Clitoris, je passais généralement une chemise de nuit et sa tête était enfouie dessous, s’imprégnant de mes odeurs intimes.) Il finissait à genoux à essayer de se concentrer sur mes jarretelles (avec ses gants jetables, ce n’était pas facile !)
    
    J’étais debout devant lui et m’amusais à tortiller des hanches et frotter malencontreusement son visage rougi de désir.
    
    Il y avait des années de cela, Cochon avait été mon mari. Il n’était plus que mon homminal de compagnie aujourd’hui. J’avais opéré une renaissance jouissive mais lui était resté ancré là. Son désir de mon corps ne le quittait plus. Mieux encore, toute Femme qu’il apercevait dans la rue, à la télé, tout parfum, tout bruit de talon sur la chaussée, l’excitait comme un jeune chien.
    
    Il ...
    ... souffrait de cela mais avait découvert la dévotion et le sacrifice en retour. Ses mains tremblaient de désir mais aussi de bonheur d’être là à mes côtés.
    
    Une fois habillée, il m’aida à enfiler une paire de bottes et mon manteau d’hiver. Je me promenais prendre le soleil dans le quartier pendant qu’il faisait tout reluire.
    
    J’étais songeuse à propos de Cochon. Noémie m’avait plusieurs fois poussé à m’en séparer. Elle le trouvait trop vieux, trop fatigué. Je lui rétorquai que j’étais attachée à sa présence, son caractère, son odeur même oui. Noémie avait ri et m’avais moquée. J’avouais que sa langue servile connaissait mes envies sans que je donne mes instructions, qu’il savait tenir une maison et qu’il obéissait maintenant assez bien.
    
    Certes une ou deux corrections mensuelles, comme le répétait ma vétérinaire, étaient toujours bénéfiques pour assoir mon autorité.
    
    Noémie, elle, ne s’était pas embarrassée.
    
    Son dernier homminal (qui était également son mari avant l’établissement de la nouvelle Gynarchie ‘Féminité et Plaisir’ il y a une dizaine d’année) avait pris de l’exéma, puis ensuite une toux bronchitique. Elle n’avait pas hésité, elle l’avait emmené chez la vétérinaire pour le faire piquer. Son nouvel homminal (elle en possède deux) est beaucoup plus jeune et de la nouvelle Education.
    
    Noémie bien que du même âge que moi, avait toujours été friande des nouvelles tendances.
    
    Pour les homminaux de compagnie, elle s’était bien renseignée. Elle m’avait expliqué les ...
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