1. JE DONNE L'OCCASION A MA FEMME DE SE FAIRE METTRE DEVANT MOI...


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... je sortais de ma poche un bandeau, que je lui présentais.
    
    - Que comptes-tu faire avec ça ? Me questionna ma femme.
    
    - Mais de bander les yeux, ma chérie.
    
    - Mais pourquoi ?
    
    - Chut… tu as oublié, Patrice…
    
    - Oh ! Tu m’emmerde avec ça !
    
    - Ça te donne tellement d’entrain, que je ne peu plus m’en passer.
    
    Elle était dans un tel état d’excitation, que très vite ses réprobations pourtant avéré, mais ça elle n’était pas censé de le savoir, étaient passé aux oubliettes. Je profitais de sa malléabilité pour lui bander les yeux.
    
    Il se passa un bon moment sans que rien ne se passe autour de nous. Comme si nous étions les seuls âmes vivantes dans les environs malgré les voitures stationnées tout proche. Puis alors que je lui pelotais à pleine main la poitrine dénudée, je vis arrivé un jeune homme sur un vélo, qui nous surprenons, sauta de sa monture. Je m’empressais de me pencher sur le nichon gauche de ma femme, surveillant en toute discrétion les faits et gestes de l’intrus. Jetant de discret coup d’œil de notre côté, il fit rouler son vélo jusqu’à l’appuyer contre une voiture qui devait sans doute lui appartenir. Puis le délaissant, il se hâta de longer les arbres pour s’approcher au plus près de notre véhicule.
    
    La bouche ouverte, ma femme jouissait de l‘instant. Loin de se douter de ce qui se tramer, à seulement quelques mètres d‘elle. Là où c’était posté le voyeur, derrière un bosquet. Mais trop loin de mon propre avis, pour parfaitement voir ce qui se passer ...
    ... à l’intérieur de l’habitacle. D’un geste de la main je l’invitais alors de s’approcher. Ce qui ne comprit pas tout de suite. Il m’avait fallu renouveler le geste à plusieurs reprises pour qu’il daigne enfin accepter l’invitation. Se dressant devant la portière de ma femme.
    
    Heureux, et encouragé que tout roulait à la perfection, je m’enhardis à rabattre le siège, faisant que ma femme se trouvait à présent allongée. Je retroussais la robe jusqu’à sa taille, dénudant son ventre, quelque peu arrondi, recouvert par une fine culotte blanche pratiquement translucide. J’écartais largement le slip de dentelle sur le côté, afin de faire découvrir le sexe à notre spectateur. Il pu voir au centre d’une épaisse touffe de poils, mes doigts s’agiter follement dans la chatte.
    
    Au bord de l’extase, ma femme toujours les yeux obstrués, porta machinalement ses mains sur sa poitrine de marbre. Empoignant fébrilement ses lourdes mamelles gonflées par le désir. Avec une fièvre grandissante, elle les pressait, tout en m’encourageant :
    
    - Oh oui, c’est bon, mon chéri… Continue comme ça ! … Oui… Oh oui…. Enfonce bien tes doigts !… Plus loin !
    
    C’était si sagement dit que je me devais que de m’exécuter. Ce que je fis, en surveillant d’un œil discret l’intrus qui avait entreprit de se toucher. Proche de l‘extase, ma femme s’empara de ma tête et dans un geste passionné m’attira jusqu’à sa poitrine. Avec une espèce de rage sensuelle, elle la plaqua fiévreusement contre ses seins gonflés qu’elle ...
«1234...»