JE DONNE L'OCCASION A MA FEMME DE SE FAIRE METTRE DEVANT MOI...
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Je n’aimais pas trop Corine, la nouvelle amie de ma femme, une fille que je trouvais avoir, comment dire ? Un pète au cul. Aux cheveux déteint, à la voix criarde.
Et en cette après-midi, ne sachant pas quoi faire (ce qu’elle avait déclaré), elle était venue s’invité à prendre un café à la maison. Nous étions donc tous les trois dans le salon, ma femme et sa collègue tablée devant une tasse de café fumante, moi devant mon ordinateur confortablement assis dans un des fauteuils. Comme à son habitude, elle s’accapara la majorité de la conversation. Malgré mon intéressement pour se sui ce passé sur mon écran j’écoutais néanmoins d’une oreille ce qu’elle disait.
Et dans tout son blabla, parmi ses multiples péripéties une capta mon intention. Un incident survenu quelques jours plus tôt. Alors qu’elle était à bord de sa voiture en compagnie de son ami du jour, en train de se bécoter dans un bois tout proche. Un endroit qui avait la réputation d’être hanter par les voyeurs.
- On pensait être tranquille mais pendant qu’il s’occupait de moi, j’ai aperçus un jeune homme, qui nous contemplait de derrière une haie.
- J’imagine que tu as ragé de devoir tout arrêter, fit ma femme en pouffant de rire.
- Penses-tu… Rémi a assisté pour poursuivre notre petite affaire…
- Et alors ? L’interrogea ma femme.
- J’ai fais plaisir à mon chérie…
- Non !
- Si je te le dis… nous avons poursuivis notre petite affaire… jusqu’à son terme…
- Devant le voyeur ?
- Oh ! Il n’est ...
... pas resté longtemps nous regarder. Après avoir joui il a filé…
Et elles s’éclatèrent de rire, en chœur…
Quelques jours c’étaient écoulés, mais pas l’incident qu’avait vécue Corine avec son copain. Et j‘avoue que cela m’avait taraudé l‘esprit tout ce temps. Au point de vouloir donner une suite à cette aventure. Pour cela j’avais insisté au près de ma femme pour aller la chercher à la grille de son boulot. Avec une idée bien précise en tête, celle de la mener dans le fameux bois.
Sitôt dans la voiture j’avais posé ma main sur sa cuisse nue de ma femme. Je laissais mes doigts erraient au hasard sur sa chair douce et ferme à la fois. Enthousiasmé par cette affolante caresse comme à son habitude en pareil moment, elle s’empressa d’écarter ses jambes. Par ce geste j’avais pu atteindre le haut de ses cuisses. Aussitôt un troublant malaise m’envahit à sentir sous mes doigts ses poils à travers le tissu moite du slip. J’en éprouvai un intense plaisir. À m’exhorter d’aller rejoindre au plus vite le bois.
- Tu veux peut-être que je m’arrête dans le coin ? La questionnais-je.
- Là… mais ce n’est pas l’endroit où…
- Tu ne vas pas me dire que tu crois encore ta copine, la coupais-je. Laisse tomber, pure fabulation de sa part, comme la plus part de ses paroles qui sortent de sa bouche.
Tout tremblant d’excitation, je m’étais stationné sur un espace découvert. Il se tenait déjà sur place trois voitures vides de toute vie. Je coupais le contact et comme je l’avais prévu ...