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La vieille chatte poilue
Datte: 25/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Alainylon, Source: Hds
... mal ? - Non ! Pas du tout. Mais allez doucement tout de même. - Ne vous inquiétez pas Ginette, j’ai la situation bien en main. Peu à peu je me suis trouvé enfoncer en elle jusqu’aux couilles. J’ai commencé à me mouvoir sans difficulté dans son sphincter. Puis après plusieurs aller et retour, j’ai senti sous mes coups de reins la souplesse du canal est devenu de plus en plus accueillant. Il m’en a fallu pas plus pour la labourer sans scrupule. La sodomisant énergiquement. Et ça, jusqu’à la jouissance. Quand j’ai retiré ma queue, son anus sous l’effet de la pénétration était aussi ouvert qu’une vulve. On voyait tout l’intérieur de son canal rectal, chair rose et brillante. Mon gland était maculé de substances organiques, blanchâtres ou brunâtres. J’avais besoin de passer par la case salle de bains. À mon retour dans la chambre, Ginette était toujours allongée. Mais sur le dos. M’exposant son sexe. - Je suis venu vous saluer avant de partir. - Déjà. - C’est que, j’ai d’autres clients à voir. - Mais c’est que j’en ai pas fini avec vous. J’aurai bien envie d’un petit quelque chose supplémentaire. - Ah oui ! Et quoi ? - Vous devinez pas. Répondit-elle en ouvrant vulgairement le compas de ses jambes. Non ? Vous voyez vraiment pas ? J’ai réprimé un ricanement incrédule, alors qu‘elle a glissé ...
... sa main sur son buisson. Faisant disparaître ses doigts dans l’épaisseur toison grisonnante. Elle a gémit. Avec de petits cris de volupté, provocant des convulsions à son corps. J’ai approché ma bouche à la hauteur de son sexe. Elle a retiré ses doigts et j’ai plongé mes lèvres avides au cœur de cette parcelle mousseux de poils crépus. Après une exploration très poussée, j’ai fini par trouver le petit bourgeon dur et gonflé. Aussi long qu’un sexe d’enfant. J’en ai tiré tout le plaisir qui y était stocké depuis toutes ces années de disette. Pour moi, un adepte du cunnilingus, c’était un véritable plaisir de rendre service à Ginette. Peu à peu, elle qui ne faisait que subir lors de mes premiers coups de langue, devint plus active par la suite. En ondulant son bassin au rythme de mes coups de langues. Elle est arrivée au paroxysme de sa jouissance. Elle a plaquée fermement mon visage contre sa vulve bouillonnante. Un immense jet de cyprine a inondé l’intérieur de ma bouche. Elle fut prise d’une sorte de convulsion. Incapable de se retenir, elle a extériorisé son plaisir, en criant. J’ai eu peur un instant que ces cris alerte les voisins. Mais heureusement pour moi rien se passa. Quand je suis sorti de chez Ginette, ma femme m’attendait derrière le volant de sa voiture. Elle avait la tête des très, très mauvais jours…