1. La vieille chatte poilue


    Datte: 25/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Un auxiliaire de vie sociale est (pour ceux qui ne le savent pas) une personne qui aide un citoyen malade ou dépendante, à accomplir les tâches et activités de la vie quotidienne. Et ce fut le métier qu’exerçait mon épouse depuis trois ans. Connaissant ma faiblesse pour les chattes poilues, elle m’avait à plusieurs reprises parlé de Ginette, une cliente dans sa tournée.
    
    - Du jamais vue ! M’avait-elle dit. Ça déborde de partout.
    
    Et elle savait de quoi elle parlait.
    
    - Plus que la tienne ?
    
    - Rien de comparable. La mienne fait figure de jeune première par rapport à la sienne.
    
    Au point qu’un samedi matin elle m’a proposé que je me joigne à elle pour que je me rendre compte par moi-même que ces dires étaient vraiment avérés.
    
    - Mais comment veux-tu que je t’accompagne ?
    
    - Tout simple. Me répondit-elle. Je vais te faire passer pour un stagiaire.
    
    - Et tu crois que ça va marcher ?
    
    - Et pourquoi ça ne marcherait pas. Il nous arrive de nous déplacer chez les clients avec un stagiaire. D’ailleurs si tu te rappel bien, la première semaine que j’ai effectué chez eux ce fut sous la coupelle de Janine.
    
    - Oui ! C’est vrai.
    
    Et donc je suis parti en tournée avec elle. Heureux de faire la connaissance avec l’oiseau rare. Pour cela j’ai revêtu comme prévu une blouse blanche. La fameuse Ginette habitait un petit appartement dans un immeuble vieillissant. À l’intérieur les pièces étaient petites, mais chaleureuses. Le sol était recouvert de PVC. Imitation ...
    ... parquet. Les meubles en bois de chêne étaient d’époque. Et au milieu de cette quiétude, Ginette, aux cheveux coupée au carré, à la Mireille Mathieu (pour ce qui connaisse), teint en blonde. Quelques rondeurs par-ci par-là, que je mis sur le compte de son âge, mais aussi une poitrine énorme qui déformait la robe de chambre bleu ciel.
    
    Il m’en fallut pas plus, pour provoquer chez moi un émoi particulier. Je me suis persuadé de prendre garde à ne pas poser en permanence de regard trop insistant sur les protubérances mammaires de Ginette.
    
    Elle a eu la bonté de nous servir une tasse de café fraîchement passé dans la cafetière électrique. Et tout en dégustant le sien elle s’est intéressée à ma vie privée en me posant quelques questions. Qui étaient pour quelques unes d’entre-elles, très indiscrètes. J’ai joué le jeu en répondant à ses demandes, faisant tout de même attention à ne pas vendre la mèche comme quoi j‘étais l‘époux de Catherine. Cela aurait causé préjudice à ma femme. D’ailleurs cette dernière, après avoir s’être levée de son siège, proposa à Ginette de bien vouloir passer dans la salle de bains.
    
    - Oui… oui, j’arrive. C’est vous qui allez me la faire, non pas le stagiaire. Répliqua Ginette avec un sourire cochon sur ses lèvres.
    
    - Pas aujourd’hui. Fit-elle en se dirigeant dans le couloir qui devait la conduire jusqu‘à la salle de bains. Il assiste pour l’instant.
    
    J’ai lu de la déception sur le visage de Ginette.
    
    - Et comment voulez-vous qui apprenne ? ...
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