1. Don Booth et l'immeuble maudit


    Datte: 25/06/2019, Catégories: h, fh, grp, extracon, cocus, voisins, grossexe, grosseins, bizarre, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, fsodo, jouet, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... relativement excitante une fois nue. J’imaginais sans peine le plaisir qu’un homme pouvait ressentir en posant les mains sur les hanches plutôt larges de la dame, ou en pétrissant sa poitrine lourde qui devait emplir les paluches à ne plus savoir quoi en faire.
    
    Je commençais bien malgré moi à me caresser en imaginant le corps musclé et dur de Dooling couché sur la femme, s’empalant en elle comme un marteau piqueur. Je pouvais presque entendre les bruits de sommier grinçant dans ma tête… mais… ce n’était pas mon imagination, j’entendais vraiment des bruits de sommier !
    
    Crik… crik… crik…
    
    — Karen !
    — Oui, j’ai entendu aussi, répondit-elle, je retourne espionner sur le palier.
    
    Bon sang, les bruits venaient encore de chez le catcheur ! Il devait avoir une santé de fer et une bite d’acier ! Madame Robinson était-elle remontée discrètement pour un deuxième round ? Je l’imaginais insatiable, nue, à quatre pattes, les seins pendant sous elle, la chatte ruisselante, grande ouverte, en attendant la pénétration de l’homme qui allait lui agripper les hanches et la défoncer sans ménagement. Je repris de la vigueur, posai ma main sur mon sexe et commençai des allers et retours. Mon gland trempé de liquide séminal se gonflait de désir, je fermais les yeux, n’avait plus qu’une seule pensée en tête : le cul de madame Robinson, son cul que je prenais, défonçais et retournais en tous sens comme le laboureur pendant les semailles de printemps. Et très vite je jouissais, balançant ...
    ... tout mon foutre un peu partout, maudissant ces masturbations improvisées qui ne laissent pas le temps de prendre un Kleenex pour éponger. J’éjaculai en criant malgré moi :
    
    — C’est pour vous madame Robinson, et à votre santé…
    
    … lorsque je vis Karen qui, les bras croisés, debout au pied du lit, me regardait avec un air courroucé…
    
    — OK, alors moi je bosse, et toi tu te tripotes comme un adolescent ?
    — Euh…
    
    Machinalement j’essuyai le sperme avec le drap.
    
    — J’essayais de me mettre dans la peau du personnage afin de mieux comprendre ses motivations !
    — Sauf que ce n’était pas madame Robinson…
    — Hein ? Qui alors ?
    — Madame Kuck !
    
    Je restai abasourdi.
    
    — Madame Kuck ?
    — Oui, elle-même !
    — Mais je pensais que…
    — Moi aussi Don, je te rassure. Mais n’empêche que c’était bien elle. Et la prochaine fois, c’est toi qui vas espionner sur le palier !
    
    Et elle retourna vers son canapé. Madame Kuck… Je n’arrivais pas à y croire. Elle qui avait l’air si strict, si sévère, et surtout si vierge ! Se laisser aller ainsi à la débauche… moi qui étais habitué pourtant à fréquenter tous les cas pathologiques de la société, je dois bien admettre que je ne parvenais plus à analyser cette relation sauvage qu’elle pouvait avoir avec le catcheur de l’étage du dessus… Malgré moi je me mis à penser à madame Kuck sans sa tenue de pionnière du Mayflower. Elle portait plutôt bien sa cinquantaine, ses traits restaient délicats, en était-il de même pour son corps ? Peut-être que sous ses ...
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