1. Don Booth et l'immeuble maudit


    Datte: 25/06/2019, Catégories: h, fh, grp, extracon, cocus, voisins, grossexe, grosseins, bizarre, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, fsodo, jouet, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... du café au Guatemala, on allait le moudre direct à la sortie de la cueillette et on s’en tapait de ces tasses ! Je vous raconte pas ! Tout frais ! Du genre qu’on n’arrive plus à s’endormir après !
    
    Je saisis l’occasion :
    
    — D’ailleurs, en parlant de dormir, vous y arrivez sans soucis vous ? Car moi la nuit dernière…
    
    Ma question restait énigmatique à dessein, je pouvais ainsi aussi bien embrayer sur les bruits étranges dont Maxwell m’avait parlé que sur la nuit d’orgie de Dooling…
    
    — Ah, n’en dites pas plus, répondit-il. C’est les petits hommes verts qui vivent dans le grenier !
    — Hein ?
    — Ben oui, vous savez, les hommes verts… Il y en a un dans le grenier, je vous jure ! Je le croise régulièrement dans l’escalier ! Tiens d’ailleurs, en parlant de vert, je vous ai déjà parlé de l’époque où j’ai traversé la jungle ? On ne voit que du vert de partout !
    — Oui, je sais, quand vous construisiez un chemin de fer en Afrique…
    — Non, pas cette jungle-là ! L’Amazonie ! J’étais avec un groupe de conquistador à l’époque, je les avais rejoints un peu par hasard en fait, et…
    — Euh, oui, en fait j’ai à faire, désolé.
    
    Soit le bonhomme buvait dès le matin au réveil, soit il n’y avait pas que quand il était sous l’emprise de l’alcool qu’il délirait… Je repartis vers mon appartement, le laissant planté là, lui et ses élucubrations. Je m’arrêtai à peine à mon logement, le temps de finir mon café si chèrement acquis et, Karen dormant toujours, j’entrepris d’aller faire une ...
    ... fouille en règle du grenier, puisque, apparemment, c’était là que les bruits étranges avaient été entendus.
    
    Arrivé au dernier étage, sur le palier menant à l’appartement de Maxwell, je trouvai assez vite une sorte de petite échelle qui, allant droit vers un carré d’obscurité découpé dans le plafond, semblait mener vers le grenier. Je m’y hissai d’un air résolu et débouchai dans un espace aussi vierge que noir. Je sortis mon briquet et l’allumai, jurant en voyant que les ténèbres ne reculaient pas à plus de cinquante centimètres. On y voyait comme dans le cul d’une nonne, mais je me disais que la vérité était peut-être là, je fis contre mauvaise fortune bon cœur et tentai l’exploration dans le semi-aveuglement du briquet.
    
    Sauf qu’en fait, il n’y avait rien à explorer… Ce n’était qu’un simple grenier, étroit et bas de plafond. D’ailleurs j’entendais au-dessus de ma tête les gouttes d’eau qui cinglaient les tuiles. Il n’y avait rien à voir ici, juste un plancher bancal recouvert de poussière, des murs bruts, une charpente de bois rongée par les bestioles… Tiens, d’ailleurs, en y regardant de plus près, j’arrivais à apercevoir l’appartement de Maxwell entre les lattes disjointes du plancher… Il dut s’apercevoir de ma présence, car j’entendis une voix criant :
    
    — Hé ! Il y a quelqu’un là-haut ?
    — Oui, répondis-je sur le même ton, c’est moi, Don Booth. J’enquête !
    — Ah, d’accord ! Mais prévenez-moi la prochaine fois, j’ai cru avoir une attaque cardiaque !
    
    Il n’y avait ...
«12...101112...30»