Non-assistance à personne en danger
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fhhh,
grp,
gros(ses),
fsoumise,
Oral
Partouze / Groupe
hdanus,
attache,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... à l’intérieur.
J’ai du mal à saisir son sexe, alors qu’il est à genoux devant moi, tel un adorateur d’Aphrodite. Il comprend mon envie, se soulève pour me le proposer. Je voudrais moi aussi lui donner du plaisir. Tirant sur le mandrin, je l’invite à venir debout sur le canapé, pour que je puisse le goûter.
Il me laisse le saisir entre mes lèvres. L’odeur est forte. Senteurs de transpiration, de latex, mais surtout senteur de sperme. Ce sperme qu’il a giclé sur les reins de mon amie en jets de moins en moins puissants, au point que les derniers sont restés sur les fesses, coulant dans le sillon et qu’il a cherché à étaler avec sa queue encore bandée.
J’aime sa semence d’homme. Ce goût âcre et indéfinissable que ma langue cherche entre gland et hampe, entre chair et peau. J’apprécie qu’il me laisse maîtresse de mon exploration et ne se conduise pas comme Phil tout à l’heure. Encore que je ne sois pas opposée à un peu de rudesse, surtout après ce que je viens de voir.
Je me fais un devoir de le pomper. Non, pas un devoir. Une gourmandise. Une gâterie. Une sucette. Un pompier. Une turlute. Une pipe.
Lécher le col roulé, c’est celle que je préfère. Mais en réalité le col roulé est maintenant bien au fond de ma gorge et ce sont les « valseuses » que je lèche, en réalité.
Il apprécie, mon admirateur. Il ne me refuse pas le plaisir de glisser un doigt humide dans son anus pour lui flatter la prostate. En général, la surprise passée, les hommes aiment cette approche ...
... singulière. Lui aussi. Je sens sa bite gonfler un peu plus dans ma gorge.
J’aime ce moment. Une queue dans la bouche, que la femme soit belle ou un boudin, c’est la qualité qui compte. Et moi, je sais assurer. Je ne joue pas les délicates : je prends ce que l’on me propose, ou bien je ne verrais jamais le bout d’un gland, si ce n’est pour une épilation.
Pour ce Jacek, je fais le grand jeu et je n’ai pas besoin de forcer mon talent. J’aime sa bite, tige dure, de bois d’homme, longue et grosse à la fois. Une queue d’homme. Un vrai.
Mais s’il apprécie, il veut aussi me donner du plaisir. Plus je le connais, plus je l’adore. Il n’est pas du genre à gicler dans votre gorge sans se préoccuper de votre plaisir. Non, il est du genre à…
— Ahhhhhh…
Il entre en moi d’un coup. Déjà je le sens battre dans mon vagin. Il est impatient ; pourtant, je l’ai vu avec Axelle plus retenu. Le désir ? L’envie ? Déjà il s’active. Il me possède. Son gourdin brasse ma liqueur.
Je le retiens en plaçant mes mains sur ses fesses poilues. Je veux lui montrer un talent caché. Le résultat d’un travail assidu, après qu’un amant – plus indélicat que lui tu meurs – m’ait fait remarquer que mon vagin était un hangar si grand qu’il se sentait perdu. Je le masse de l’intérieur. Je sais contrôler mes muscles pour l’étreindre comme une multitude de petites mains qui s’activeraient sur sa queue.
Il reste immobile.
— Putain, tu fais ça comment ? dit-il.
Derrière lui, les autres s’activent. ...