1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... destinée.
    
    Jacek sur Axelle. Phil a reculé, la queue bien propre. Le mari, lui, ne peut pas bouger, mais il n’en a sûrement pas envie. Cela doit être particulièrement jouissif de sentir sa femme avancer et se frotter à lui alors qu’un enculeur s’active.
    
    Le bruit.
    
    Il fait chaud. J’ai chaud, mais le pire c’est ce bruit. Le doux ressac de la mer qui avance, pousse sa vague au plus profond de la falaise, puis l’abandonne pour laisser la place à la suivante. Ici, ce n’est pas le bruit de l’eau qui frappe la pierre, mais celui d’une peau qui en frappe une autre. À chaque poussée de Jacek qui heurte avec son pubis les fesses d’Axelle, ma peau se hérisse. C’est moi qu’il bouscule et que son vit laboure.
    
    Je lui souris. Il me répond par des avancées de plus en plus violentes, de plus en plus fortes. La belle Axelle m’arrache les mots de la bouche lorsqu’elle l’encourage :
    
    — Putain, que c’est bon !
    
    Le mari ajoute son grain de sel, comme s’il voulait marquer son territoire :
    
    — Allez, Jacek, laboure-lui le cul à cette traînée ! Montre à sa copine ce que nous faisons aux femmes adultères.
    
    Adultères ? Encore faudrait-il que j’aie un ami, à défaut d’un mari. Ma vie sexuelle est un désert. Chaque soir, seule chez moi, je me caresse et me baise avec un gode. Même avec deux, parfois, lorsque je n’arrive pas à me rassasier. En particulier lorsqu’une cliente m’a montré sa chatte pour que je l’épile. Combien de fois me suis-je éclipsée, sous un prétexte ridicule, pour ...
    ... aller me satisfaire moi-même et éviter de ruiner ma réputation en plongeant entre les cuisses qu’elles m’ouvrent sans retenue ?
    
    Suis-je lesbienne ? Je ne sais pas. Je ne crois pas. Une lubie ? Déjà que je n’arrive pas à attraper les hommes, alors ne parlons pas des femmes !
    
    En tout cas, Jacek ne se pose pas ce genre de question et honore sa maîtresse.
    
    Quel rôle magnifique ! Amant et complice du mari. Pas de risque, que du plaisir !
    
    Voilà ; d’un geste élégant, il se retire du cul de sa maîtresse, arrache la capote qui bridait sa queue et crache sa sauce sur les reins d’Axelle alors que le mari en récupère entre ses doigts pour en faire boire à sa femme.
    
    Elle obéit. Cela doit lui paraître bien peu, comparé à ce que Phil a balancé dans sa gorge. Mais la quantité ne fait pas la qualité…
    
    Le quatuor se défait doucement. Axelle roule sur le côté, épuisée par tant de jouissances. Son mari est à côté d’elle. Mari complaisant, fournisseur de mâles sous le prétexte d’une punition. Ils s’aiment, c’est évident. Il suffit de voir les regards qu’ils échangent.
    
    Phil s’installe dans un fauteuil.
    
    Seul Jacek bouge vraiment. Il revient vers moi, statue de muscles et de puissance. Apollon des temps modernes, le sexe encore gonflé du plaisir.
    
    — Alors, ma colombe, tu as aimé ?
    
    « Une colombe ? Il n’y a qu’un aveugle ou un amoureux transi pour me qualifier de colombe, moi qui m’écraserais au sol dès ma tentative d’envol, lestée par toutes mes rondeurs. Rondeurs ? Encore ...
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