Prostitutions - Histoires de Sexe

Prostitutions

... encore demander à son mari s’ils pourraient revenir nous voir à leur prochain voyage en France. Laetitia leur promit évasivement que oui bien sûr, et enfin ils mirent les voiles, embarquant Wang et son collègue qui commençaient à s’endormir.

***

— Amsterdam, ça vous tente ?

Il était deux heures et demie du matin. Pauline sortait de la douche, toute pimpante dans son peignoir, et parfaitement décidée à essayer de retrouver la trace de la « futa » dont avait parlé Monsieur Li.

— Euh… je bosse dans six heures, observai-je en guise de réponse.
— Oh s’il te plaît, Gufti ! Viens avec nous !

Je soupirai en dévisageant Pauline, puis Laetitia, qui était allongée sur le lit.

— Tu viens de te faire dix mille euros, me rappela justement cette dernière, tu peux sans doute t’absenter quelques jours de ton boulot…

Ouais… faudrait juste que je trouve un pipeau à leur raconter.

— Okay. On part quand ?

Pauline se précipita pour me prendre dans ses bras et m’embrasser. Incroyable ! Elle avait encore la gaule !

— Demain matin ? proposa Laetitia. Le temps de tout ranger ici, de réserver des billets de train…
— Si y a que ça, j’ai la bagnole garée derrière l’hôtel, on peut même partir tout de suite, si vous voulez.
— Non ! objecta vivement Pauline en me poussant vers le lit. Tout de suite, on va faire l’amour !
— T’as encore envie ? s’étonna la jolie blonde en regardant sa copine enlever son peignoir et dévoiler sa queue à demi gonflée.
— Hé, j’ai pas joui ...

... quand on a baisé Madame Li, je te signale !
— Si ça peut te rassurer, j’ai pas joui de la soirée, moi… expliqua Laetitia en se redressant pour à son tour retirer le peignoir qu’elle portait.

Moi j’avais éjaculé dans ma capote au fond du cul de Madame Li, mais en voyant la bouche de la pulpeuse blondinette se refermer sur le phallus durcissant de notre « futa » qui me suppliait des yeux en passant sa langue sur ses lèvres, je me dis que ça ne serait sans doute pas un problème.

***

Rouler jusqu’à Amsterdam s’avérant trop difficile au vu de la quantité de sommeil dont j’avais bénéficié ces dernières quarante-huit heures, et les filles ne voulant pas prendre le volant, on rejoignit finalement les Pays-Bas en avion. Un taxi nous conduisit encore jusqu’à un hôtel méga classe du centre ville, pas loin de la gare, où les gros biftons qu’exhiba Laetitia suffirent à nous obtenir une super suite grand luxe pour quelques jours.

Nous profitâmes tranquillement de la capitale tout le reste de la journée du lundi, sans nous préoccuper de notre « recherche ». Balade sur les canaux, visite du musée Van Gogh, un petit tour dans le Quartier Rouge… Nous commencerions à enquêter le lendemain. La nuit fut encore complètement folle, Pauline nous gratifiant tour à tour de ses attributs, Laetitia et moi. Elle semblait tout excitée, et pas uniquement physiquement ; comme si elle attendait un heureux événement. La perspective d’enfin rencontrer quelqu’un qui lui fût semblable en tout point la ...