1. Prostitutions


    Datte: 23/06/2019, Catégories: ffh, asie, prost, grossexe, hotel, Transexuels Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... ; on était attablés tous les trois à la terrasse d’un petit restau italien, où on prenait l’apéro en attendant des pizzas. Les filles avaient un peu speedé la fin de notre balade parce qu’elles avaient rendez-vous avec leurs Chinois à 21 heures au bar de leur hôtel. Et elles s’étaient mis en tête que je devais rester là dans le salon pendant qu’elles se les tapaient dans la chambre.
    
    — Oui, comme ça ils partiront vite ; le dernier coup, ils décollaient plus, ils sont restés des plombes à boire du champagne.
    — En même temps, à vingt mille balles de la soirée…
    — Ça te fait chier, de nous attendre ?
    — Ben… je sais pas trop… de vous imaginer vous faire troncher juste à côté de moi par des milliardaires chinois pendant que je mate la téloche, c’est pas hyper mon trip. Mais…
    — Mais ?
    — Mais finir la soirée avec vous, oui, j’aimerais vraiment.
    
    Pauline posa sa main sur la mienne.
    
    — Oh comme c’est mignon ! se moqua Laetitia.
    — Vous pourriez venir passer quelques jours chez moi ?
    
    Elles se regardèrent pour s’interroger des yeux.
    
    — Si vous voulez, pendant que vous tirez vos Chinois, je vais chercher ma bagnole, et on se retrouve à votre hôtel dès que vous avez fini ?
    
    Ainsi fut décidé. On dévora nos pizzas en papotant encore un peu de tout et de rien, et on rentra tranquillement à pied jusqu’à l’hôtel pour 20 h 30. Les filles se préparèrent à recevoir leurs clients, se faisant plus belles encore qu’elles n’étaient déjà, et rangeant au mieux leur suite délirante. ...
    ... On échangea nos numéros de portables, puis on descendit ensemble au bar de l’hôtel un peu avant 21 h. Toujours costumé comme pour dîner à l’Élysée, j’avais toutefois à la main un beau sac plastique avec mes fringues sales dedans qui jurait un peu avec l’ambiance ultra-select de l’endroit. Le couple de Chinois était déjà là. D’ailleurs, en fait, ils étaient quatre.
    
    — Ils ont amené des potes ? m’inquiétai-je.
    — Non, je crois que c’est leurs gardes du corps, m’expliqua Pauline. Ils étaient là aussi, l’autre fois, mais ils sont pas rentrés dans la suite.
    — Ben encore heureux !
    — Tu vois, rigola Laetitia, t’aurais pu rester et nous attendre en papotant avec eux.
    — Bah oui ! Je suis sûr qu’on se serait bien entendus…
    
    Les deux Chinois, attablés avec un magnum de champagne, faisaient de grands gestes amicaux en direction de mes compagnes qu’ils avaient aperçues. Je les observai un instant : un gros type âgé qui puait le fric à cent mètres, et une belle petite nana qu’aurait pu être sa fille et qui le suivait sans doute justement pour le fric. Et deux grands baraqués qui les surveillaient en regardant excessivement partout avec une inquiétude exagérée.
    
    — Bon… ben je vous laisse… À tout à l’heure. Amusez-vous bien.
    — Attends ! me supplia Pauline. Embrasse-moi !
    — Non, intervint Laetitia. Pas devant les clients.
    — Ha, ha ! hurlait justement le type. Pô-linh ! Lé-ti-zhya ! Kom ohn !
    — Ce con va alerter tout l’hôtel. Pas sûr que ça les enchante de savoir qu’on fait les ...
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