Pierre, le Maître
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... m’entraîne avec elle. Nous ne sommes qu’une seule entité. Ma force ne peut compenser sa faiblesse. Doucement, irrésistiblement, nous descendons. Je sens déjà le sol sous mes fesses.
Le sol ? Mais ce n’est pas possible : nous en sommes encore loin. Mais alors, qu’est-ce ?
D’un seul coup, je comprends.
Oh, Pierre… Ton idole doit être fière de toi ! Même lui, n’aurait pas pu imaginer pareil stratagème, pareil supplice : lier deux femmes, lier deux destins pour montrer que le maillon le plus faible entraîne l’autre. Machiavel et Sade se complètent. Je sais ce qui nous attend.
Déjà, je sens l’objet aux bornes de ma chatte. Résister ? À quoi bon… Si, juste ce qu’il faut pour que la descente soit assez douce, la pénétration régulière, l’envahissement progressif.
Progressif ? Peut-être, mais quel morceau ! Juste quelques millimètres, et déjà je suis dilatée par l’objet.
Miriam faiblit et m’entraîne malgré mes efforts. Nouvelle pression. Oh, les sadiques ! Ils méritent leur nom. Ma moitié avait-elle imaginé ce jeu, ou est-il sorti de l’imagination fertile de mon Maître ? Un deuxième mandrin frappe à la porte, la porte du cul. Il est si bien placé qu’une petite main doit veiller à la bonne position. Mes efforts ne font que retarder le moment fatidique. Déjà, mon anus a été forcé, sans grande difficulté je dois dire, remerciant un instant la mansuétude de nos bourreaux qui ont dû lubrifier les godes à foison.
Miriam abandonne d’un seul coup, m’entraînant dans sa ...
... chute. Une fraction de seconde, j’ai la vision d’horreur des suppliciées empalées à mort.
Un cri. Moi ou Myriam ? Les deux, peut-être…
Mais heureusement, la chute n’est que de quelques millimètres avant que nos fesses arrivent au contact d’un tissu amortisseur. Soulagée, c’est vrai ; mais maintenant, les deux godes sont enfoncés jusqu’à la garde. Je prends conscience de ce qui m’a envahie par le con et par le cul. Impossible de l’oublier. Je suis rivée au sol. Si je voulais bouger, je ne pourrais pas. Encore moins parce que ma moitié est dans la même situation. Nous voilà soudées l’une à l’autre, empalées par des bâtons de plastique.
On me retire mon bandeau. Nos bourreaux sont là, bien sûr, sourire aux lèvres. Ils consultent le planning diabolique que Myriam a prévu. J’ai le temps de voir mon reflet dans un miroir qui me fait face. J’ai l’air ridicule, assise par terre, les jambes écartées. J’entrevois entre mes cuisses la base de ce qui me possède. Et mes seins, rouges, écarlates ; on dirait qu’ils vont exploser.
Ma moitié sursaute. Elle cherche à bouger. Elle tremble. Je ressens de drôles de vibrations. Elles semblent se rapprocher. Nouveau sursaut de ma codétenue.
Waouh ! Mon cul vibre. Ce sont des godes vibrants, et ce que je ressentais chez ma voisine c’est la mise en route successive des siens. L’autre aussi. Maintenant, les quatre sont en marche. Mise à feu réussie. Cap Canaveral vient de lancer quatre fusées qui visitent des zones sensibles.
Ils jouent ...