1. Pierre, le Maître


    Datte: 23/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... échantillonnages des sexes masculins : courts, longs, fins, larges, complètement découverts, comme celui d’Abdou.
    
    Je dois me contrôler. Ne pas me laisser entraîner dans ce racisme primaire, coupable, que des organisations dénoncent. Surtout ne pas faire sentir que la queue d’Abdou m’attire. Pensez… Une queue noire préférée aux queues blanches : voilà le vrai racisme, celui que les organisations gouvernementales dénoncent, la supériorité de la race. Blanche ? Vous avez dit blanche ? Mais non : noire ! Je ne sais plus. Une queue est une queue ! Celle de Gégé n’est pas mal non plus. Courte, noueuse, dure comme du béton.
    
    Je ne suis qu’une chose qu’ils utilisent. Mais c’est si bon de se laisser faire… Plus d’initiative. Plus de choix difficile. C’est Gégé qui mène la danse. Un homme s’assied sur le billard. On m’amène à lui, me pousse pour que je le suce alors qu’un autre m’enfile, glissant au plus profond de mon intimité largement offerte. On appuie sur ma tête pour forcer ma gorge. Des mains claquent mes fesses, pressent mes seins, poussent des doigts dans mon anus.
    
    Ils parlent entre eux. Ils me parlent. Mélange de mots crus et de compliments. Ma dextérité les enchante. Ma disponibilité les flatte. Si je suis si chaude, si humide, si ouverte à leurs possessions… Ce ne peut être que parce qu’ils sont des hommes, des vrais ! Pas comme mon mari, qu’ils imaginent vieux, impuissant et incapable de me satisfaire.
    
    La première giclée me surprend. Celui que je suce éjacule ...
    ... sur mon visage avec un râle d’agonisant. Encore un qui en rêvait depuis longtemps, mais que sa femme ou ses partenaires refusaient. Avec la bourgeoise, on peut tout se permettre.
    
    Il est aussitôt remplacé. Nouveau sexe. Nouveau goût. Nouvelle forme. Je m’applique. Celui qui me possède jouit. Je sens ses jets chauds qu’il balance sur mes fesses, après avoir fait sauter la capote. Je n’ai pas encore joui. Le suivant, peut-être, qui entre d’un coup de reins continu. Celui-là est moins pressé. Il me baise lentement, savoure chaque mouvement. C’est un bavard, un cérébral. Ses paroles fouettent mon imagination. Il ajoute une petite touche de caresses sur mon clito. Je sens que je viens. Le frisson annonciateur est là. La jouissance apporte sa récompense ; un orgasme long comme un jour sans fin. Si je n’avais la bouche pleine, je hurlerais mon plaisir.
    
    - Elle jouit ! Regardez, je la fais jouir, la bourgeoise ! Elle n’est pas venue pour rien. Attends, tu n’as encore rien vu. Tiens…
    
    Il se retire. Je l’entends cracher et je sens une coulure de salive. Sa queue se frotte à nouveau, mais plus haut, sur l’anus. Il va entrer. Non. Il hésite…
    
    - Je vais t’enculer. Je suis sûr que tu en as envie. Tu veux ? Hein, tu veux ?
    
    Grandes gueules, braillards, fiers à bras. Oui, ces hommes sont tout cela. Mais violeurs, non. Ils demandent l’autorisation.
    
    J’abandonne la queue que je suce pour dire un « oui » qui le libère complètement. Je n’ai pas le temps de reprendre ma sucette que la ...
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