Souvenirs de Venise
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... renforcer mon alibi, je fume un début de cigare et je rentre à l’hôtel. L’ascenseur s’ouvre…
Elle est là !
Nous restons de longues secondes face à face.
— Encore un refus ? me demande-elle.
— Non, pas du tout. Et toi ?
— Non plus.
L’ascenseur se referme derrière elle. Je continue :
— J’avais envie de te revoir. Je ne sais même pas ton nom.
— C’est mieux. Comme cela je ne serai qu’un souvenir anonyme.
— Ah…
Encore quelques secondes où nous nous regardons. Et puis sans se concerter nous avançons l’un vers l’autre pour nous enlacer. Je retrouve la chaleur de son corps, la douceur de ses lèvres et ce "Grand Plus" que j’avais senti hier. Nous nous accordons parfaitement. Comme si depuis toujours je l’attendais, mon corps la désirait.
Notre baiser est sans fin et ne fait qu’attiser des braises dans mes reins.
— Viens, j’ai envie de toi. Je ne comprends pas ce qui m’arrive.
Elle veut m’emmener vers le bar.
— C’est fermé.
— Oh !
Ce « oh » contient toute la déception du monde. Alors me vient une idée.
— J’ai peut-être une solution.
Il n’est pas nécessaire de préciser dans quel but. On prend l’ascenseur jusqu’à mon étage. Juste en sortant dans le couloir, une porte de service. Je la pousse. Bingo ! Elle est ouverte. J’avais remarqué que la femme de ménage en sortait ce dont elle avait besoin et qu’elle ne refermait pas derrière elle.
C’est plus un couloir qu’une pièce. Une rangée d’étagères remplies de linge et de produits. Au fond, un ...
... chariot de ménage. Juste un passage. Décidemment, nos amours adultères ne connaîtront que des lieux plutôt minables.
Peu nous importe, la seule chose qui nous intéresse c’est l’autre. Chacun bataille avec ses vêtements pour les enlever. Une sorte de frénésie collective. Enfin nous sommes nus, et déjà nos corps se collent, se reconnaissent alors qu’un nouveau baiser scelle notre envie.
Pourtant je prends le temps de la caresser. Je sais que bientôt elle ne sera plus qu’une ombre, mais je veux me souvenir de tout, de son grain de peau, de son visage, de ses seins, de ses hanches, de la douceur de ses cuisses, de la fermeté de ses fesses et de son intimité que je découvre vraiment. À genoux, je glisse mon visage entre les cuisses qui s’ouvrent pour moi. Aucune gêne, aucune honte, nous sommes comme Adam et Ève avant que ce dieu vengeur les punisse en rendant leurs ébats impurs.
Sa fente est un fruit. Un abricot ! Une pomme ! Qu’importe ! Je le déguste de mes lèvres, de ma langue pendant que mes mains plaquées sur ses cuisses le plaquent contre moi.
Elle gémit et j’adore, alors qu’elle fléchit les jambes pour venir à ma rencontre. Son bouton est si sensible que chaque attouchement la fait frémir, et bien vite le râle que j’entends là-haut se concrétise par une mouille précieuse que je goûte avec délice.
En me relevant, ma queue trouve aussitôt le chemin de sa chatte. Elle s’accroche à mon cou. Je la soutiens de mes mains alors qu’elle m’enveloppe de ses jambes. Plaquée ...