1. M et le chinois


    Datte: 22/06/2019, Catégories: fh, hplusag, gros(ses), fsoumise, nopéné, occasion, Auteur: Mary01, Source: Revebebe

    ... éprouvant une émotion qu’elle essaie de maîtriser. Elle tendrait bien la main pour effleurer tous ses objets qui s’offrent à elle, mais elle n’ose.
    
    Le gros chinois sourit de son trouble, il lui présente une série d’olisbos d’aspect anodin et de taille moyenne :
    
    — Ceux-ci sont utilisés pour élargir les filles trop étroites, ceux-là à punir les femmes adultères.
    
    Elle recule tremblante se demandant intérieurement jusqu’où son corps accepterait de tels objets, ses jambes ne semblent plus vouloir lui obéir, elle voudrait avoir le courage de fuir au plus vite… mais la fascination est là, immense, qui la tient clouée dans la pièce avec le gros chinois qui jubile de son émoi.
    
    Il est le chat et sa victime est là, saisie par le spectacle…
    
    Son souffle est court maintenant, sa poitrine se soulève oppressée, sa langue semble collée à son palais et c’est avec difficulté qu’elle réussit à la passer sur ses lèvres, subitement asséchées. Bien malgré elle, son corps s’émeut, sa peau brille d’une suée qu’elle ne peut maîtriser, d’un désir qu’elle n’ose extérioriser mais qui transpire de son corps et affiche sa soif de plaisir.
    
    Elle rougit de plus en plus, cela commence à la base de son cou et semble s’étendre vers sa poitrine que l’on sent se tendre et durcir.
    
    Avec une étonnante agilité, le gros chinois vient se plaquer contre elle, la forçant à prendre appui sur son gros torse. Un de ces bras la maintient au niveau de la poitrine qu’il malaxe à travers le tissu sans ...
    ... complexe, lui faisant presque mal, allant de l’un à l’autre des bouts turgescents. Elle sent son souffle chaud sur son cou ; son deuxième bras emprisonne ses hanches.
    
    Tout en continuant de lui caresser les seins, il remonte sa robe et se glisse lentement vers le pli de l’aine, à la recherche de son mont de Vénus. Ses doigts boudinés explorent les lieux, sûrs de trouver l’humidité provoquée par son émoi. Sous les doigts inquisiteurs, ses lèvres s’entrouvrent, laissant l’accès à la moiteur de son sexe, il saisit le clito et le pétrit sans vergogne. Elle s’appuie de plus en plus contre lui, s’abandonnant au plaisir des caresses ; elle n’a plus de fausses retenues et, presque honteuse, profite des caresses
    
    De courtes plaintes s’échappent de sa bouche, son sexe est de plus en plus mouillé, voire inondé ; elle est sous sa coupe, impuissante, juste reliée au plaisir par des caresses. Son bassin se tend de plus en plus au-devant de sa main. Elle est prisonnière d’un tourbillon de sensations de plus en plus exquises qui montent de son corps voluptueux. Le temps devrait s’arrêter et ne rester que sur ces caresses qui la torturent… Mais l’homme est habile et sait mener la danse, la faisant aller de phases où elle pourrait jouir à une position d’attente qui la fait gémir de désir.
    
    Son impatience est grande et son corps tout entier réclame la jouissance, son bassin en est le témoin, se balançant de plus en plus vite au-devant de cette main. Elle est tendue comme un arc, un bel ...