1. L'histoire de la truie : la truie partagée


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Erosetlesbos, Source: Hds

    ... et je mouillais encore plus en regardant cette bite courte mais très épaisse et je l’imaginais écarteler mon vagin trempé. À ce moment Joël intervint : » Assied toi, l’ami et laisse ma grosse vache s’empaler sur ta bite ! » L’homme s’assit donc et je m’installais sur lui en gémissant de plaisir. Je commençais donc à le chevaucher en gémissant lorsque soudain, Joël se leva et vint se placer derrière moi : il m’écarta les fesses et y glissa deux doigts inquisiteurs. Me sentant trop sèche parce que trou, il lubrifia abondamment avec de la salive et enfin, il me pénétra avec son gros pénis lentement dans mon conduit anal. Quel délice ! Quelle sensation ! Je hurlais mon plaisir et recommençais à sentir les prémices de la future jouissance. « Aaaah oui j’aime ! Putain, je suis serré ! » grognait mon prof et Joël renchérit : « Alors, c’est pas de la première qualité comme cochonne ? Du lard de compétition, de la salope graisseuse à souhait ! » Je me mis à couiner comme une chienne en chaleur lorsque le troisième larron me planta son sexe en bouche en me susurrant : « Je ne suis pas fan des hurlements de truie qu’on égorge ou qu’on baise. Suce et tais-toi ! » Et me voilà, moi la grosse dont personne ne voulait deux semaine auparavant, trois sexes en elle, poussant des cris étouffés et jouissant sous les coups de butoirs de ces trois gros porcs en rut.
    
    Enfin, ils me libérèrent : « Allez mes salauds, nous allons jouir sur le visage de cette grosses vache mamelue ! » lança Joël et ...
    ... aussitôt dit, Ils se levèrent et m’installèrent assise entre eux-trois. Leurs sexes puaient le foutre et dans le cas de Joël, une légère mais nauséabonde odeur d’anus pas très propre. Les cochons se masturbèrent peu de temps et Joël le premier éjacula son sperme chaud sur mon visage : de longs jets, puissant et chauds qui virent souiller mes lèvres, mon nez et mes cheveux. Il se termina sur mes lèvres et lorsque les spasmes de jouissance cessèrent sur son sexe, il me le mit en bouche et je le nettoyais en grognant comme une cochonne. À peine se fut-il retirer que ce fut au tour simultané de mes deux vieux cochons qui m’inondèrent le visage en même temps de leur sperme qui sentant très fort. Ils s’essuyèrent sur mes joues déjà souillées et sur mes lèvres avant d’enfoncer chacun leur tour leurs vieilles verges odorantes dans ma gorge.
    
    Je m’écroulais comme une masse, épuisée mais heureuse alors que les deux vieux cochons épuisés sortaient sans bruit. Là-dessus, quelques verges sortaient encore des deux trous mais s’en était assez pour moi. D’ailleurs, certaines de ces queues avaient vraisemblablement éjaculé devant les ébats de mes amants et moi. « Tu es vraiment la plus grosse salope qu’il soit ! » me lança Joël. Et avant que je n’ai pu répondre, il m’ouvrit l’anus avec les quatre doigts de la main, puis me les fit sucer. Je jouissais à nouveau de cet acte dégradant, puis nous sortîmes de notre cabine et allâmes enfin prendre une douche méritée : en effet, mon visage était ...
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