1. L'histoire de la truie : la truie partagée


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Erosetlesbos, Source: Hds

    ... dégoût, l’envie irrépressible de m’enfuir, mais aussi de l’excitation, une excitation comme je n’en avais jamais connu, l’envie de me faire violer par ces salauds… et de voir Joël nous rejoindre, entrer dans mon trou du cul avec son pénis tendu et délicieux… Ils continuaient de fourrager entre mes cuisses graisseuses et me firent mettre en levrette. À ce moment, Joël les interrompit avec une voix calme mais chargée d’autorité : « Attention, messieurs : son anus m’appartient, vous avez le droit d’abuser d’elle avec la capote comme bon vous semble mais pas de l’enculer. C’est mon privilège. On s’entend bien là-dessus ? » Silencieusement mais toujours en me tripotant le cul et le vagin, les deux porcs acquiescèrent. L’un d’entre eux se plaça devant moi et m’amena brutalement ma bouche sur son gland odorant, pendant que l’autre, celui à la queue moins épaisse mais plus longue, enfilait du plastique sur sa verge et commençait à me flatter la vulve à coup de gifles sonores et humides : « Ah la truie ! Elle mouille bien ! – Oui, je suis une grosse truie… » Je commençais à répondre avec excitation. Il m’écarta les grandes lèvres et me pénétra lentement. Je jouis à l’instant : prise par un homme que je ne connaissais absolument pas, qui aurait pu avoir l’âge de mon père et en train de sucer un cochon qui me faisait penser à un ancien professeur de lycée. Mon Dieu que c’était bon. J’étais une vilaine truie, après tout, une grosse vache bien viandeuse, certes… mais au moins j’étais ...
    ... désirée. Mes amies, mes proches, celles qui se moquaient de moi avaient déjà subi ce traitement et ressenti la jouissance que je ressentais à ce moment ? Je ne le pensais pas et imaginais leur jalousie en me voyant embrochée de la sorte par trois mâles en rut.
    
    « On a ferré le gros poisson, fit l’un d’eux.
    
    - Grosse, ça c’est sûr, lui répondit son comparse. Une bonne grosse truie… Raaaan continue de me pomper le bout.
    
    - Mphfff… Oui, fis-je dans un grognement étouffé. Mais il ne sent pas vraiment bon….
    
    - Tu aimes, hein ? Je vois, tu t’es rué dessus, ma grosse !
    
    - Ouiiiiii j’adore quand c’est fort… ça sent le vrai mâle…. Joël, vient me la donner aussi, je t’en supplie… »
    
    Joël s’approcha alors et glissa sans douceur son gros gland dans ma petite bouche de salope. Je me retrouvais à sucer deux grosses queues et une autre qui me ravageait le vagin. C’était bon, chaud, délicieux et combien excitant. Au final, j’étais une salope ! « Je suis une salope ! Une grosse salope » Me mis-je à crier à la cantonade. Les trois hommes surpris, se mirent à rire et nous nous retrouvâmes effondrés les uns sur les autres en riant. J’étais nue au milieu de trois hommes et je me sentais bien ! Mais l’un des deux vieux voulait me monter. Je comprenais, le pauvre n’avait eu que ma bouche et si je me découvrais des talents de suceuse, je savais d’expérience que rien ne valait la tiédeur moite d’un vagin, sinon un trou qui était interdit à mes deux vieux cochons…
    
    Mon « prof » bandait dur ...
«12...5678»