1. Les aventures de Bernard et Agnès (2)


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... son pantalon, son slip et ses chaussettes, révélant une érection déjà bien avancée :
    
    - Eh bien, je vois qu'on ne te laisse pas indifférent, constata Agnès en tapotant le pénis d'un doigt mutin. Christine avait laissé glisser sa main le long de son bas-ventre et enserré la racine de sa verge entre pouce et index en le branlant légèrement. Passif, Bernard laissait les deux femmes prendre possession de sa virilité comme une garantie pour un plaisir futur.
    
    - Pendant que Christine s'occupe de toi, je vais prendre une douche, déclara Agnès, qui disparut dans la salle de bains.
    
    Christine en profitant pour finir de déshabiller Bernard et se dévêtir elle-même entièrement. Bernard glissa un doigt sur sa fente déjà très humide et tous deux commencèrent à se masturber mutuellement. Puis Agnès réapparut dans le plus simple appareil, sans avoir pris la peine de se sécher. Bernard vit s'avancer vers lui cette quintessence de la femelle, les obus en suspension, le ventre en avant, le système pileux foisonnant et la lippe gourmande :
    
    - J'aime baiser toute mouillée, dit-elle pour expliquer l'absence de séchage. Et de brandir un tube de gel avec cette explication : "comme ça, tu pourras y aller de bon coeur avec ton engin".
    
    De fait, la pression des doigts de Christine avait rempli son office. Le membre de Bernard avait pris maintenant sa longueur, sa densité et sa courbure maximales, s'attirant les appréciations flatteuses des deux femmes, avec toutefois cette réserve émise ...
    ... par Agnès :
    
    - Il va falloir aussi durer, mon petit Bernard, nous avons toutes les deux gros appétit.
    
    Et joignant le geste à la parole, elle l'emboucha. A la fois branlé par Christine et sucé par Agnès, Bernard se demanda fugitivement s'il n'allait pas prématurément gicler et ainsi réduire ce trio inédit à quelques minutes de félicité pour lui, et seulement pour lui. Son honneur de mâle était en jeu. Aussi se concentra-t-il pour ne pas se laisser aller au plaisir provoqué par la langue agile d'Agnès et les doigts précis de Christine. Lesquelles d'ailleurs ne tardèrent pas à intervertir les rôles. Bernard eut vite une envie furieuse de pénétrer l'une et l'autre, ou l'une ou l'autre. Mais c'étaient les femmes qui menaient le jeu, pas lui. Elles furent bientôt deux à le sucer en même temps, se partageant son gland comme elles l'auraient fait d'une glace à la vanille. Le sang bouillonnait dans sa terminaison. Elles attrapaient son regard pour mesurer son excitation, sa résistance, son endurance, parfaitement conscientes qu'elles devaient maitriser leur gloutonnerie pour qu'il puisse les servir le plus longtemps possible.
    
    Puis elles se concertèrent :
    
    - Il faudrait peut-être qu'il nous baise maintenant, le pauvre chou, dit Agnès.
    
    - Je suis en feu, s'il te plait, laisse-le moi en premier, haleta Christine, qui obtint l'accord de sa collègue.
    
    Et saisissant le pénis à pleine main après s'être enduite de gel, elle l'attira en elle en s'allongeant, cuisses en V. Bernard ...
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