1. Les aventures de Bernard et Agnès (2)


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... :
    
    - Excuse-moi Bernard mais je ne peux pas dormir. Je ne suis pas habituée à être toute seule dans une chambre d'hôtel, j'ai peur. Est-ce que je peux me coucher à côté de toi cette nuit ? Je te promets que je ne te gênerai pas.
    
    - C'est que... Je dors à poil.
    
    - Tu n'auras qu'à éteindre la lumière. S'il te plait...
    
    Un peu décontenancé, Bernard finit par accepter et, tout sourire, Christine se débarrassa de sa robe de chambre et apparut dans une nuisette ultra légère lui arrivant en haut des cuisses et sous laquelle ses seins en poire pointaient avec arrogance. Lorsqu'elle se coucha, elle découvrit un pubis abondamment fourni que le drap masqua après qu'elle l'eut tiré sur elle. Bernard éteignit la lumière, ôta la serviette et s'allongea à son tour à distance respectable, ce que permettait le vaste lit. Et il finit par s'endormir.
    
    Mais la nuit, les corps s'oublient un peu. Dans le sommeil, un contact charnel s'établit entre les deux dormeurs. Si Bernard restait dans les bras de Morphée, Christine était bien réveillée et considérait avec fascination, en se caressant le bouton, le pénis hors normes de Bernard, en semi érection, éclairé par un lampadaire extérieur. Elle ne put retenir son index de venir toucher le gland décalotté puis d'être rejoint par son pouce pour un début de branlette, certes timide, mais incontestable. Bernard se réveilla en sursaut :
    
    - Mais qu'est-ce que tu fais ?
    
    Christine retira sa main vivement comme si elle avait été brûlée :
    
    - ...
    ... Heu... excuse-moi, mais dormir à côté d'un homme entièrement nu, non, ce n'est pas possible, surtout que, euh... tu as une queue magnifique.
    
    Bernard alluma la lumière de lit de son côté et constata son début d'érection :
    
    - Tu m'as bien chauffé, dis donc. Tu en as envie ?
    
    - Oui.
    
    Et de faire passer illico sa nuisette par-dessus sa tête, révélant un corps splendide de femelle trentenaire aux seins agressifs, au ventre plat et au pubis foisonnant de brune, corps qui faisait oublier la disgrâce du visage. Tout aussi rapidement, elle prit possession buccalement du gland de Bernard qu'elle engloutit avec presque voracité. Sa manière ardente de pomper laissa supposer à Bernard un tempérament volcanique dissimulé sous une certaine timidité. Stimulé, il grandit et grossit tellement qu'il s'entendit dire de sa compagne de lit :
    
    - Tu es phénoménal ! Je n'aurais pas cru ça possible.
    
    Elle l'enfourcha avec précaution, en appui sur son abdomen, laissant son vagin prendre possession de l'engin avec de légers mouvements de hanches jusqu'à ce qu'elle soit totalement empalée, ce qui provoqua chez elle un profond soupir, yeux clos et tête en arrière. Alors, elle commença à onduler lentement et Bernard sentit le long de sa queue un liquide dégoulinant, celui du plaisir de sa partenaire. Peu à peu, la bite ayant trouvé sa place et l'occupant généreusement, le mouvement de son bassin se fit de plus en plus ample et des râles profonds sortirent de sa gorge. Bernard la laissa aller à ...
«1234...8»