1. Les aventures de Bernard et Agnès (2)


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... son rythme, se contentant de lui maintenir les hanches ou d'empaumer ses seins qui dansaient la samba.
    
    - Tu l'aimes ma bite ? lui jeta-t-il.
    
    - Oh oui, je l'adore, elle est booooonne.
    
    Preuve que la douce Christine n'était pas née du dernier coït, elle ponctuait ses va et viens par un massage de couilles, une main derrière son dos. Bernard décida alors qu'il lui était temps de se comporter en mâle. Sans se désunir de sa partenaire, il la renversa sur le lit, la plia en deux, pieds sur ses épaules et la pilonna sans concession, s'attirant du coup une volée d'exclamations diverses et variées qui étaient autant d'encouragements à poursuivre dans la même voie. Bernard labourait, creusait, fouillait, fouaillait un vagin trempé comme un marécage qui semblait l'aspirer. Il la déplia, la replia, l'écartela, la dévasta et la rejoignit dans un orgasme dévastateur qui la laissa les yeux révulsés et la poitrine palpitante. Il prit soin de se retirer avant d'éjaculer et l'arrosa copieusement de son sperme épais, dont elle se frotta les seins comme d'une crème de beauté.
    
    - Oooh, tu m'as fait mourir, quel pied, quel pied ! souffla-t-elle.
    
    Puis elle courut aux WC et quand elle revint, Bernard était à plat ventre, la queue entre les jambes écartées, image qui la toucha. Il dormait déjà. Elle le rejoignit et entoura ses reins de son bras en s'endormant.
    
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    Le lendemain, les quatre se retrouvèrent à la table du petit-déjeuner. Christine, qui avait rejoint sa chambre au ...
    ... petit matin, affichait une mine resplendissante et un ton enjoué. En revanche, Marc se montrait maussade. Voisin de chambre de Bernard, il n'avait pas goûté le "charivari" qui l'avait réveillé en pleine nuit :
    
    - Merci pour la discrétion, grogna-t-il à l'intention de son collègue. Tu aurais pu me prévenir que tu avais appelé une call girl. Vu ses cris, elle t'en a donné pour ton argent. La prochaine fois, on pourra la partager, non ?
    
    Bernard ne pipa mot et Christine plongea dans son bol de café. Seule Agnès glissa un sourire :
    
    - Eh bien Bernard, je vois que les séminaires n'ont pas que des côtés désagréables. C'est quand même dommage que tu sois obligé de payer.
    
    Et de jeter un regard complice vers Christine, de plus en plus rose.
    
    - Bon, ça va, laissez tomber, je m'excuse Marc de t'avoir dérangé, ça ne se reproduira plus.
    
    Et le petit-déjeuner s'acheva sur cette promesse.
    
    Sur le chemin des réunions, Christine et Agnès marchèrent côte à côte, à l'écart.
    
    - C'était toi dans le lit de Bernard, hein ? lança Agnès mezzo voce. Je ne crois pas un instant à cette histoire de pute.
    
    - Oui, c'était moi. J'avais peur toute seule. Mais je n'avais pas l'intention de coucher avec lui, ça s'est fait presque par hasard...
    
    - Mouais. En tout cas, tu n'as pas été déçue, si j'en crois ce que Marc a raconté.
    
    - Tu parles. J'ai rarement joui comme ça. C'est un baiseur phénoménal. Et pourtant, ce n'est pas un canon, ce mec, mais moi non plus, faut être honnête... Mais il a ...
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