1. Eye wide Shut (suite)


    Datte: 16/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Damemature, Source: xHamster

    ... honorable. D’une mimique langoureuse, la belle demanda à le goûter. Il s’exécuta sans broncher et le fourra dans la bouche de la demoiselle qui l’avala presque entièrement, révélant une pratique de la chose très convenable et visiblement maintes fois répétée ! Son matou se mit aussitôt à donner de grands coups de bassin vers l’avant révélant que lui aussi, ma foi, il possédait une certaine pratique. Il avait du rythme, de la cadence et tant d’énergie que les miaulements de sa chatte se transformèrent en grognements étouffés.
    
    Je commençai à avoir très chaud !Pendant ce temps-là, les deux autres n’avaient pas perdu leur temps ! (Très organisés ces matous-là!) Je me souviens maintenant que celui qui besognait la petite avait un sexe magnifique qui luisait sous l’unique lumière de la pièce, tombant d’un grand lustre, à la verticale parfaite de leurs ébats. Ne me demandez pas comment et pourquoi je suis capable de me souvenir de détails comme ceux-là ; je l’ignore moi-même. En m’avançant encore de quelques pas, je fus surprise de découvrir les deux derniers de la bande, recroquevillés sous la grande table. L’un léchait les cuisses de la belle comme un gamin qui vient de plonger dans une boite à bonbons. L’autre larron, la bouche grande ouverte, se tenait juste sous les couilles de son copain de bordée, ...
    ... s’apprêtant à recevoir sa récompense. Et il fût servi, croyez-moi ! Lorsque que le travailleur inonda enfin la belle. Tous le monde se régala de l’offrande. Ce qui, avouez-le, n’est pas si rare que cela dans une cuisine. Lorsqu’il se retira, les deux poursuivirent leur repas avec la petite chatte de la belle. Ils n’en finissaient plus de gémir, de laper à grands coups de langue cet élixir de vie ! Quant à la fille, elle venait elle aussi d’obtenir sa récompense. Elle se trémoussai en poussant de drôles de petits cris plaintifs. Je pensai aussitôt à un grand festin, à de somptueuses bacchanales. Et j’avais bien pensé ! Son partenaire finissant d’arroser copieusement son corps dénudé, deux serveurs revenus de la salle se mêlèrent aussitôt au petit groupe. Le corps de la belle, luisant lui aussi sous la lumière, fut livré aux langues gourmandes des convives. Un spectacle magnifiquement mis en scène. Une lumière parfaite, des acteurs sachant improviser et la musique lancinante des gémissements, quelle beauté !
    
    Il était vraiment temps pour moi de retrouver la belle qui m’échappait depuis le début de cette mémorable soirée. Elle m’attendait , j’en étais persuadée.
    
    (1) Les belles histoires de l’Oncle Paul (un vieil homme aux cheveux blancs tétant une grosse pipe) était une bande dessinée, il me semble, du journal Spirou. 
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