Le voyage à Perpignan
Datte: 19/06/2019,
Catégories:
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odeurs,
Oral
Auteur: Dalibor, Source: Revebebe
... habitudes de macho ! Une fois que l’on a eu ce que l’on veut, rideau ! Je me retrouve comme un renard qu’une poule aurait pris et je file vers ma chambre, la queue pendante entre mes jambes (dixit La Fontaine, Jean de son prénom).
Qu’est-ce que c’est frustrant d’avoir psychiquement envie de baiser à couilles rabattues et que le matériel fasse faux bond ! Je suis persuadé que si Popaul avait été en état, j’aurais pu profiter de ses bonnes dispositions, si je n’avais pas trop traîné.
Cependant, comme tout malheur a un côté positif, j’ai pu me retirer avec les honneurs, en affirmant que je voulais la ménager.
J’ai passé une nuit affreuse car, en repensant à ce déferlement d’érotisme un peu pervers, je suis tout énervé et, même en essayant de me branler, je n’arrive pas à libérer la tension qui reste permanente. Je reste mou, super mou, rien à faire avec ce vieux saucisson racorni qui n’en fait qu’à sa petite tête de nœud !
Enfin, je m’endors très tard, d’un sommeil de plomb, pour me réveiller en sentant une présence à mes côtés - ou plutôt entre mes jambes. Mélanie est en train de me sucer le poireau, et il faut dire qu’elle sait s’y prendre ! Pendant la nuit, malgré mes efforts, il n’y avait rien à faire. Là, la vigueur de mes vingt ans m’est revenue et je suis fin prêt pour le salut au drapeau. Le mat est bien dressé. Le clairon embouché et il joue sans fausse note. D’une lente reptation, elle se met sur moi et profite de mes bonnes dispositions pour ...
... s’empaler.
D’habitude, la position sur le dos m’entraînant à une certaine passivité, j’ai tendance à ne pas garder la forme très longtemps et le chêne se transforme rapidement en roseau. Mais là, je ne sais où elle a appris ça, elle me masse la queue avec son sexe d’une manière magnifique et, miracle, je reste bien dur et cela dure. C’est magnifique ! (C’est vrai que le matin, je me réveille souvent avec la trique lorsque je n’ai pas vidangé les excès de la veille.)
Cela dure, mais comme tout, il y a une fin. Un coup de sonnette impératif :
— Le petit déjeuner est là.
Des envies de meurtre contre le serveur, qui arrive à un bien mauvais moment, me traversent l’esprit.
— S’il vous plaît… Un moment, je suis sous la douche.
En vitesse, nous passons chacun un peignoir et je vais prendre les plateaux du petit-déjeuner. Le garçon me regarde avec insistance, presque en tendant la main. L’idiot ! S’il croit que je vais lui glisser un pourboire pour avoir interrompu une des plus belles baises de ma vie…
Mélanie, qui est rentrée dans sa chambre entre-temps, lance :
— C’est le petit déjeuner ? Merci ! Voici deux francs de pourboire.
Je suis soufflé et sans le souffle. La tasse de café, je la sens devenir amère. Aguicheuse comme pas une, Mélanie me souffle :
— Cela ne fait rien, il y a encore d’autres trains. Pour arriver tard, il n’est pas nécessaire que ce soit toujours de la faute de la SNCF.
Ouaf ! Je sens que ce n’est pas fini et que la partie va continuer lorsque ...