1. Un Propriétaire Compréhensif


    Datte: 19/06/2019, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica

    ... l'entre jambe, jusqu'au-dessus de mon nombril) était souillée par le sperme de mon voisin retraité. En particulier, mes bourses et mon pénis (qui s'était très vite ratatiné) étaient badigeonnés de cet épais liquide jaunâtre. Je courrais dans la salle de bain pour me nettoyer. Furtivement je vis Elodie se mettre deux doigts dans le vagin puis les porter à sa bouche.
    
    Je n'ai vu Henri que le dimanche matin suivant, en lui rendant visite. Un peu inquiet de m'apercevoir en ouvrant sa porte, je l'ai rassuré d'un sourire et lui ai dit que j'allais faire un peu de vélo, pour m'entretenir, jusqu'à midi, que la place était libre, chaude, et qu'Elodie l'attendait. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna plus. Elle aimait ça, ne s'en cachait pas Avec lui, elle jouissait à répétition, bien plus qu'avec moi m'avoua-t'elle.
    
    Finalement, elle convainquit Henri, réticent au départ, de me laisser les regarder. Mais celui-ci émis une condition, que je ne sois vêtu uniquement que des dessous d'Elodie. Il ne voulait pas avoir la sensation d'être espionné par un autre homme.
    
    Lorsque le jour arriva, je me sentis gêné et timide. Je ne savais pas comment me comporter. Je portais un soutien-gorge et ma bite était comprimée dans mon entrejambe par une fine culote de ma femme On sonna à la porte. Elodie me fit assoir sur une chaise dans un angle du salon en me disant de ne pas bouger puis s'en alla accueillir son vieil amant. Quand ils entrèrent dans le salon elle avait déjà tombé sa robe ...
    ... de chambre de soie et se frottait nue contre cet homme un peu ventru. Henri me sourit, lui aussi sans doute gêné.
    
    Elle le dévêtit rapidement, ne lui lassant uniquement que son marcel sur le torse. Elle attrapa sa queue déjà dure puis se tourna vers moi en souriant.
    
    — Voici l'arme du crime, mon petit mari chérie. Dit-elle en l'agitant devant son visage.
    
    Si sa bite n'était pas plus longue que la mienne, elle était bien plus grosse, au moins deux doigts. Des veines saillantes luisaient le long du chibre tandis que la main d'Elodie le serrait. Mais le plus impressions restaient ses énormes couilles, ridées, bouffis, ces couilles qui produisaient du sperme en quantité industrielle. Complètement imberbe, on aurait dit un cerneau de noix plus gros qu'un pamplemousse.
    
    — Alors c'était vrai, tu as envie d'être cocu et de profiter du spectacle demanda t'il.
    
    Je fis un oui de la tête.
    
    — Tu vas en avoir pour ton argent. Dit-il en riant.
    
    Il attrapa la tête de ma femme qui commença à lécher sa bite et son gland. Un fois son sexe recouvert de bave, il la fit se coucher sur le sofa. Lentement il enfonça son gland, bien plus large que le mien, dans son vagin. J'étais fasciné par cette pénétration, ses lèvres d'Elodie dessinant un O autour de la grosse bite d'Henri dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l'odeur si délicieusement musquée de l'amour, et plus encore l'ouïe enchantée par les sons qu'elle ...