Un Propriétaire Compréhensif
Datte: 19/06/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica
... folle.
— Tu pars avec moi au travail demain?
Elle se recula, bras tendus autour de mon cou.
— Je lui ai promis de le finir demain matin ... Si tu le veux toujours...
— C'est lui qui viendra, ou toi qui iras? Demandai-je la gorge nouée.
— Chéri... c'est toi qui as dit que tu voulais ça dans nos draps, mais si tu préfères...
— Non, c'est très bien! dis-je en l'interrompant. Si tu as envie comme ça c'est le principal. Dis-moi, toi, des mots crus s'il te plaît, j'en ai besoin, là, maintenant... dis-moi que tu es une salope...
C'est à ce moment que j'ai remarqué que son chemisier était taché. Cela m'a fouetté, et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois encore mon excitation. Je l'ai prise le soir, et surtout le matin avant de partir. Elle allait juste après faire l'amour avec Henri qui piaffait d'impatience en attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, et je voulais qu'elle garde les traces de moi. C'était stupide, mais je l'ai voulu comme ça.
Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve. Elodie a reçu Henri chaque matin, chaque après-midi juste avant que je ne rentre. Moi qui croyais qu'à partir de soixante ans on ne pouvait plus souvent! Chaque fois, elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu'elle raconte, pudiquement ou crûment selon mon degré d'excitation, c'est moi qui décidais.
Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail. Elle m'a ...
... serrée fortement et j'ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu et si adoré, que je savais avoir été possédé la matin même, pour la première fois, par un septuagénaire viril qui l'avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari et j'ai eu terriblement envie d'elle.
Le plus bizarre fut le mardi soir où je rentrai seul. Je croisai Henri qui regagnait son appartement. Il évita mon regard et me salua du bout des lèvres alors que Elodie lui avait sans doute dit que j'étais d'accord et que cela m'excitait qu'elle me fasse cocu avec lui. Elle était encore au lit, nue, une énorme tache s'étalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras. Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement engluée d'un sperme épais qui continuait lentement à s'échapper d'entre ses lèvres. Même dans les films X, je n'avais jamais vu ça. Cela aurait dû me dégoûter, mais ça m'a violemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés. Enfin, n'en pouvant plus, je l'ai pénétrée. Le bruit des clapotis que faisait mon membre dans son vagin plein de sperme me rendait fou. J'avais l'impression de pistonner un gant plein de nouilles et de mayonnaise. Très vite je jouis, ajoutant un peu de ma semence au liquide collant dont elle était emplie. Elle, sans doute fatigués par les assauts du début de semaine n'émettait qu'un petit râle. En sortant de son sexe, je me rendis compte de l'ampleur des dégâts. Une bonne partie de mon corps (de ...